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Uber : Une nouvelle levée de fonds estimée à un milliard de dollars

Économie > Uber
Par Vincent Spartien,  publié le 19 février 2015 à 2h28, modifié le 19 février 2015 à 6h58.

Deux mois après une levée de fonds par Goldman Sacchs, Uber obtient une nouvelle levée de fonds.

Toujours aussi controversé, mais toujours autant plébiscité par les investisseurs. La start-up américaine Uber spécialisée dans les voitures avec chauffeur a une nouvelle fois fait le plein. Quelques mois après une levée de fonds estimée à 1,6 milliard de dollars auprès de Goldman Sachs, la société a réussi une nouvelle levée de fonds.

« La forte participation souligne la confiance des investisseurs dans la croissance d’Uber et ses priorités que sont UberPOOL (un autre service permettant de réduire le coût du trajet en regroupant plusieurs passagers dans la même voiture) et davantage d’expansion internationale” peut-on lire dans un communiqué rapporté par le site Challenges.fr.

Plusieurs investisseurs en deux mois

D’après une source proche du dossier, la levée de fonds est estimée à 2,8 milliards de dollars, dont une  effectuée auprès de Goldmann Sachs à hauteur de 1,6 milliard de dollars, ainsi qu’auprès du groupe chinois Baidu pour 600 millions de dollars.

Un partenariat avec l’entreprise chinoise qui ne tombe pas par hasard, puisqu’Uber vise de plus en plus le marché asiatique. Avec l’apport de cette nouvelle levée de fonds, Uber devrait continuer son expansion sur ce territoire. Depuis 2009, Uber a réuni près de 5 milliards de dollars grâce à des investisseurs .La valorisation totale de la start-up lancée en 2009, est toujours de 41 milliards de dollars.

Uber, toujours aussi controversé

Présent dans près de 54 pays pour 200 villes, Uber n’est cependant pas bien vu dans ces villes, notamment pour sa concurrence contre les taxis traditionnels. Plusieurs pays tentent d’interdire Uber dans leurs services. Dernier pays en date, l’Inde qui a donné un ultimatum de sept jours à Uber pour mettre en règle son application mobile pour incorporer les chauffeurs de taxi. Faute de quoi, l’application pourrait être interdite sur le territoire indien.

Le Récap
  • Plusieurs investisseurs en deux mois
  • Uber, toujours aussi controversé
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