Manque d’hygiène : motif de rupture pour 22% des hommes et 25% des femmes
Une étude révèle notamment que 22% des hommes et 25% des femmes ont déjà mis fin à une relation amoureuse en raison du manque d'hygiène de leur partenaire.
À l’occasion de la Saint-Valentin, le Groupe SCA expert mondial de l’hygiène a conduit une enquête sur l’importance de l’hygiène au sein du couple. Et l’étude Hygiene Matters (l’hygiène, ça compte) de révéler notamment que 25% des femmes et 22% des hommes interrogés ont déjà mis un terme à une relation amoureuse en raison du manque d’hygiène observé chez leur partenaire.
En tête des critères hygiéniques évoqués comme motif de rupture, les mauvaises odeurs. Les hommes comme les femmes (44 et 56%, respectivement) reconnaissent être davantage dérangés par l’odeur corporelle que par la mauvaise haleine (39 et 32%). Sur la troisième marche du podium, on trouve l’hygiène intime, citée par 36% des hommes et 31% des femmes.
Hygiène intime : les femmes un peu plus préoccupées
Au registre des préoccupations des Français, l’hygiène intime apparaît en revanche davantage comme un sujet sensible chez les femmes (67% contre 60% des hommes sollicités). 50% des hommes et 46% des femmes mentionnent ensuite l’haleine, et ils sont enfin 45 % chez les femmes et 38 % chez les hommes à accorder une attention toute particulière aux mains propres.
Des écarts plus notables sont relevés concernant notamment les chevaux sales, sources de contestation pour 26% des femmes contre seulement 10% des hommes. La gente féminine s’affirme par ailleurs à 72% comme la plus soigneuse à titre personnel au sein du couple, contre 48% des représentants du sexe masculin.
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Les poils, quasiment pas dérangeants
Si leur partenaire féminine choisit de ne pas se raser les aisselles, les hommes dans leur globalité n’y voient pas là une raison de rompre. Seuls 9% estiment ainsi que la pilosité sous les bras de leur compagne est un vrai souci à ce niveau.
À l’inverse, sur les femmes interrogées dans le cadre de l’étude, elles n’ont été que 5% à avoir affirmé qu’une trop grande pilosité chez leur partenaire masculin pouvait leur faire envisager de ne pas aller plus loin avec lui.
L’étude a été conduite entre le 31 mai et le 13 juin 2016 au travers des sondages web et ce auprès d’un échantillon de 12.000 personnes âgées de 16 à 56 ans réparties dans 12 pays (1.000 par pays) : États-Unis, Mexique, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Pays-Bas, Italie, Suède, Russie, Chine et Inde.