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États-Unis : elle met au monde un enfant de 6,4 kg

International > États-Unis
Par Gael Brulin,  publié le 30 décembre 2018 à 10h10.

Aux États-Unis, une femme a accouché d'un bébé de 6,4 kg. Un poids particulièrement élevé donc mais dont ne se préoccupe pas la mère, ainsi atteinte du syndrome des ovaires polykystiques et qui avait déjà réussi à avoir un premier enfant, venu au monde à 4,1 kg.

L’expression “c’est un beau bébé” pour désigner une personne à la constitution affirmée peut s’appliquer à cet enfant récemment venu au monde aux États-Unis. Sa mère a ainsi accouché d’un enfant deux fois plus lourd que la moyenne à la naissance : 6,4 kg.

Né à l’Arlington Memorial Hospital, Ali y a même signé un record, rapporte CBC Dallas / Fort Worth. Son poids exceptionnel n’a pas vraiment été une surprise pour Jennifer et Eric, ses parents, puisque leur premier enfant, une petite fille prénommée Annabelle, pesait 4,1 kg quand elle est venue au monde.

Elle accouche d’un bébé de 6,4 kg, le premier pesait 4,1 kg à la naissance

Si la deuxième grossesse de Jennifer s’est déroulée sans problème particulier, elle a néanmoins dû accoucher par césarienne. Ali est ensuite resté une semaine au sein de l’unité de soins intensifs néonatals en raison de taux de sucre dans le sang et de plaquettes sanguines anormalement bas.

Au final, en dépit des soucis post-natals rencontrés et du poids certain affiché par Ali, sa mère se réjouit de cette nouvelle arrivée dans la famille : “Je me fiche du poids qu’il pèse, je suis tellement heureuse”.

La mère atteinte du syndrome des ovaires polykystiques

Et si Jennifer apparaît nager dans la bonheur ici, c’est parce que le syndrome des ovaires polykystiques dont elle souffre aurait pu l’empêcher de mettre au monde Annabelle et Ali. Il s’agit ainsi d’un trouble hormonal réduisant les probabilités d’avoir un enfant.

“Nous avons tout de même essayé et prié”, indique Jennifer. Annabelle était née grâce à des traitements de fertilité, alors que les médecins avaient prédit une toute autre issue : “Lors de notre dernier traitement, ils avaient dit que mon follicule se transformerait en kyste. Ils ont eu tort, il s’est changé en elle [NDLR : Annabelle]”. Le même processus aura été opéré pour Ali, lequel a depuis pu rentrer chez lui en bonne santé.

Le Récap
  • Elle accouche d’un bébé de 6,4 kg, le premier pesait 4,1 kg à la naissance
  • La mère atteinte du syndrome des ovaires polykystiques
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