Disparition de Fiona : Des problèmes de violences dans sa famille
La disparition de Fiona repose sur des faits troublants. Les enquêteurs privilégient la piste familiale à cause de faits de violences sexuelles.
Fiona a disparu depuis plus de 3 semaines et il n’y a aucune nouvelle. Les enquêteurs ont étudié plusieurs pistes et privilégient actuellement celle de la famille à cause de certains faits. Comme le rappel le Progrès, le grand-père de la fillette est connu des services de police à cause de faits de violences sexuelles. A-t-il un lien avec la disparition de la petite fille ? Impossible de répondre à cette question, mais selon l’avocat de la mère de Fiona, la voiture de son grand-père maternel a été fouillée par les enquêteurs. Cette expertise permettra peut-être à cette affaire d’avancer.
Fiona a été vue par une enseignante
Fiona évoluait dans un environnement compliqué puisque son beau-père est également connu des services de police. Son casier judiciaire est assez chargé notamment pour des faits de violence. C’est pour ces raisons que les enquêteurs privilégient la piste familiale. Le Progrès apporte d’autres éléments concernant la présence de la petite fille dans le parc. Il y avait des doutes, mais le témoignage d’une femme a permis aux enquêteurs d’obtenir une trace écrite mettant en avant la présence de la petite fille dans le parc. L’avocat de Cécile Bourgeon a expliqué au quotidien que cette femme avait vu Fiona dans les jeux. Cette enseignante « trouvait même étrange que des parents laissent leurs enfants aussi jeunes sans surveillance ».
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Retrouver Fiona au plus vite
Cette femme explique également dans sa déposition qu’elle a entendu Cécile Bourgeon crier dans le parc et appeler la petite fille. Le dispositif est toujours aussi important puisqu’une cinquantaine d’enquêteurs s’occupent de cette affaire. Le procureur de Clermont-Ferrand expliquait au quotidien que le seul « objectif est de la retrouver le plus vite possible ». La mère de Fiona comprend que l’enquête privilégie la piste familiale, car les policiers « font leur travail. C’est normal. Et d’ailleurs, on sera toujours là pour répondre à leurs questions. Même si c’est toujours difficile ».