Au cinéma cette semaine : Astérix – Le Domaine des Dieux, The Search et A la Vie
Ce mercredi sort le nouvel Astérix, réalisé par Alexandre Astier, mais aussi The Search, présenté au Festival de Cannes, avec Bérenice Bejo.
Aujourd’hui sort Astérix – Le Domaine des Dieux, réalisé par Alexandre Astier en animation numérique. Pour interpréter les voix des célèbres gaulois, on retrouve Roger Carel, Elie Semoun, Laurent Lafitte, Alain Chabat et Géraldine Nakache, entre autres.
Ce nouveau film reprend l’intrigue de l’album Le Domaine des Dieux : Jules César décide de changer de tactique pour tenter de soumettre le village d’Astérix et Obélix. Il fait construire un village composé de luxueuses résidences aux abords des maisons gauloises. Les romains s’y installent, avec leurs habitudes et leur culture : l’appât du gain et du confort romain aura-t-il raison de la tranquillité du village des irréductibles gaulois ?
La critique de Astérix – Le Domaine des Dieux :
De l’avis général, ce nouvel Astérix est une véritable réussite. Pour Culturebox – France Télévisions, “Une drôlerie souvent irrésistible et une conception visuelle de toute beauté, par Toutatis !“. Pour Première, “c’est à la fois un vrai film d’auteur et un bon morceau de cinéma populaire, et ça donne surtout l’impression qu’Astier et Clichy ont trouvé la recette de la potion magique.”
La bande-annonce de Astérix – Le Domaine des Dieux :
http://www.dailymotion.com/embed/video/x2b3occ”The Search est un film plein d’humanité qui a le grand mérite de lever le voile sur un conflit sur lequel les grandes nations occidentales ont pudiquement détourné le regard.” Même avis positif pour Télé 7 Jours, qui évoque comme un “pari réussi : on en sort la gorge nouée, à l’image du personnage de Bérénice Béjo, témoin révolté de cette tragédie.”
La bande-annonce de The Search
http://www.dailymotion.com/embed/video/x2b3o32″le film peine, hélas, à s’élever à la hauteur des événements dont il s’inspire, trop pudique à l’écriture, le caractère illustratif de la mise en scène n’en paraît que plus plaqué. Pourtant, le cinéaste parvient à émouvoir sans tomber dans le pathos“. Un avis partagé avec Première, pour qui “l’interprétation compassée des actrices et la modestie des choix narratifs créent paradoxalement une distance émotionnelle qui rend cette chronique intimiste parfois atone.”