No Limit saison 3 : la série fait son grand retour ce soir sur TF1
Ce soir, TF1 diffusera les deux premiers épisodes de No Limit saison 3. Une nouvelle saison "plus harmonieuse" d'après Vincent Elbaz.
Un peu plus d’un an après sa deuxième saison, No Limit la série produite par Luc Besson et avec Vincent Elbaz pour héros est de retour sur TF1.
Cette nouvelle saison est notamment marquée par l’arrivée de Patrick Chesnais au casting. L’acteur incarne le père de Vincent Libérati (Vincent Elbaz).
“Nous avons trouvé un équilibre”
Pour promouvoir No Limit saison 3, Vincent Elbaz a accordé une interview au Figaro. Il a ainsi expliqué que cette saison devrait plaire davantage aux téléspectateurs : “Nous avons trouvé un équilibre entre l’action, la comédie et une part de drame intime des personnages, donc elle est plus harmonieuse. Dans les premières saisons, il y avait une complexité dans l’histoire, là on revient à des enjeux plus primaires, c’est mieux.”
Sur le site de TF1, la chaîne nous promet pour ce soir “deux épisodes très forts pour lancer 2015 de la plus belle des manières”.
Vincent Libérati face à son père
Au coeur de No Limit saison 3, les téléspectateurs découvriront les rapports difficiles entre Vincent Libérati et son père, interprété par Patrick Chesnais : “Vincent Libérati a besoin d’une greffe de foie et son père est le seul donneur compatible. Il le fait donc revenir dans sa vie. La greffe est très symbolique. Ce qui est intéressant, c’est que son père n’a pas envie de lui donner son foie et il le dit ! Du coup, mon personnage est très agressif avec lui. Il faut dire que ce n’est pas non plus le père le plus fiable de la terre.” Pour obtenir ce qu’il veut, Vincent Libérati va devoir infiltrer le milieu du grand banditisme marseillais, dans lequel Claude son père a évolué.
Quant au choix de casting, Vincent Elbaz est ravi que Patrick Chesnais incarne son père dans No Limit saison 3 : “C’était un très bon choix parce qu’il apporte de l’épaisseur au personnage ainsi qu’un côté tragicomique. Il n’a pas succombé à la tentation de jouer un voyou, un dur, il a incarné un père absent et c’était le meilleur choix de jeu possible.”