Kill Bill 3 peut devenir une réalité selon Tarantino
Dans une récente interview, Quentin Tarantino n'a pas fermé la porte à un possible troisième volet de Kill Bill, en avouant au passage ne pas être féru de True Detective en parlant de la saison 1.
Alors que certains longs-métrages sont projetés au cinéma avec l’intention de retenir le spectateur durant plus ou moins trois heures, Kill Bill avait fait le choix de se découper en deux “volumes” de manière à rendre sa diffusion plus digeste. Ce qui avait ainsi donné l’impression d’un premier volet et de sa suite, même si, finalement, moins d’un an les séparait et qu’il s’agissait donc d’un seul “gros” film.
Et plus de dix ans après leur sortie, on parle maintenant d’un hypothétique Kill Bill 3. À l’occasion d’un entretien accordé au New York Magazine, et dans lequel le réalisateur s’est exprimé sur divers sujets cependant liés pour la plupart au cinéma, Quentin Tarantino n’a pas esquivé la question, tout en se montrant assez laconique sur le sujet.
Non à Killer Crow et peut-être pour Kill Bill 3
Après avoir signifié qu’il n’avait plus l’intention de tourner Killer Crow, on a ainsi demandé à Quentin Tarantino si Kill Bill 3 était également un projet qu’il ne se sentait plus à réaliser : “Non, ce n’est pas exclu, mais nous verrons.” Rappelons que fin 2012, il avait également laissé planer le doute sur un troisième volet, tout en évoquant la probabilité que ça ne se fasse “sûrement pas”.
True Detective saison 1 : Tarantino n’a pas regardé le premier épisode en entier
De nombreux avis font état d’une saison 2 de True Detective bien en-deçà de la qualité de la première. Quentin Tarantino a cependant révélé n’avoir pas été captivé par un premier arc pourtant porté aux nues : “J’ai essayé de regarder le premier épisode de la saison 1, et je ne suis pas allé au bout. J’ai trouvé que c’était vraiment ennuyeux. Et la saison 2 a l’air horrible. Rien qu’à regarder la bande-annonce, avec ces beaux gosses d’acteurs qui essaient de paraître moins beaux en marchant comme s’ils portaient le poids du monde sur leurs épaules.” Il en fallait bien au moins un.