Cette semaine au cinéma, on évite Recherche bad boys désespérément
Recherche cinéma, désespérément…
Recherche bad boys désespérément se veut à la fois drôle, sexy et rythmé mais manque totalement le coche et pousse les limites de la médiocrité à son paroxysme. Plus les minutes passent, plus les dialogues plongent dans le ridicule.
L’intrigue bat de l’aile au bout de deux minutes de projection, alors qu’elle provient pourtant d’un best-seller écrit par Janet Evanovich, La Prime paru en 1995 mais le passage sur grand écran est un échec. Pas la peine d’adapter les quinze autres volumes des aventures de Stéphanie Plum. Le cinéma vous en remercie d’avance.
Avec un titre qui semble ne pas se prendre au sérieux, un humour bien gras saupoudré de politiquement correct, le film arrive tout de même à donner des leçons bien moralisatrices aux spectateurs en insistant lourdement sur les méfaits de la malbouffe. Pourquoi regarder Super Size Me quand on peut en plus rire avec Recherche bad boys désespérément ?