Un instituteur téléchargeait des photos où des enfants étaient violés
L’instituteur a été pris en flagrant délit de téléchargement de photos pédophiles. Il était dans un cybercafé parisien lorsque ce cinquantenaire est interpellé par la police. Il a été placé en garde à vue puis placé sous contrôle judiciaire.
L’instituteur est âgé de 55 ans, il avait été condamné une première fois pour agressions sexuelles sur mineur en 2007. Il a été cette fois interpellé alors qu’il téléchargeait des photos pornographiques mettant en scène des mineurs. Cette information relayée par Le Parisien indique que l’homme était prudent puisqu’il avait dans un premier temps enregistré « des liens renvoyant sur des sites pédophiles sur une clé USB ». Selon une source proche de ce dossier, c’est le gérant du cybercafé parisien qui se rend compte du téléchargement de photos avec des mineurs. Le client n’était pas connu du cybercafé, l’employé contrôle via son écran les activités de cet homme. Lorsqu’il se rend compte que les images sont à caractères pornographiques et qu’elles mettent en scène des enfants, il décide de donner l’alerte comme le rappel le journal.
Des images d’enfants violés
Les policiers de la brigade de protection des mineurs l’attendaient à la sortie du cybercafé où il a été interpellé. Selon les informations du quotidien, l’homme a reconnu les faits. La police a été contrainte de regarder les images insoutenables téléchargées par cet instituteur. Ce dernier avait pris des photos où des enfants étaient violés et agressé sexuellement. Les mineurs étaient âgés selon la source de 4 à 13 ans. Une expertise psychiatrique a été demandée puisque le pédophile a reconnu avoir une attirance particulière pour des photos de viols sur enfants. Le Parisien a eu l’opportunité d’interroger le médecin qui a indiqué que l’homme avait un caractère à la fois manipulateur et pervers.
À son domicile un ordinateur portable a été saisi. Cet instituteur avait été démis de ses fonctions lorsqu’il avait agressé l’une de ses élèves qui était mineure au moment des faits en novembre 2007. Son suivi sociojudiaire lui interdisait ce type de téléchargements, mais il le faisait quand même. Ces images insoutenables vont être étudiées, les enquêteurs tentent de trouver la piste des réseaux pédophiles qui ont partagé ces clichés.
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