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Mondial-2018 : Salah, se remettre comme Ronaldo ou sombrer comme Zidane?

Foot > Coupe du monde Foot 2018 > Cristiano Ronaldo > Zidane > Mondial-2018 : Salah, se remettre comme Ronaldo ou sombrer comme Zidane?
Par Peter STEBBINGS,  publié le 16 juin 2018 à 18h03, modifié le 16 juin 2018 à 18h04.
 4 minutes

Ronaldo, Zidane, Beckham, Rooney, Suarez… et maintenant Salah! Comme l’Egyptien, touché à l’épaule avant le début du Mondial-2018, d’autres grandes stars dans l’ère moderne ont disputé un contre-la-montre médical pour se remettre de blessures contractées avant le coup d’envoi. Avec des fortunes diverses.

Blessé le 26 mai, en finale de la Ligue des champions avec Liverpool, le “Pharaon” défie le temps depuis. Vendredi, il était sur le banc et y est resté lors de la défaite inaugurale contre l’Uruguay (1-0). Il a maintenant trois jours pour retrouver sa forme et ses sensations avant d’affronter l’hôte russe, ce qui lui donne le temps de voir comment d’illustres anciens ont géré cette période compliquée.

. Ronaldo (2002). La légende brésilienne débarque cette année-là au Japon avec une coupe originale, une simple frange sur un crâne par ailleurs complètement rasé mais surtout des pépins physiques à l’aine et à un genou qu’il traine régulièrement depuis trois saisons avec l’Inter Milan. A 25 ans à peine, il semble alors sur le déclin. Désormais âgé de 41 ans, il a déclaré il y a peu que cette facétie capillaire avait d’ailleurs pour principal objectif de détourner l’attention de ses prestations. Contre toute attente, les matches s’enchaînent pour lui et son doublé en finale contre l’Allemagne porte à huit but le total du meilleur attaquant du tournoi et offre à la Seleçao son 5e et dernier sacre. Dans la foulée, il est transféré au Real Madrid.

. Zinedine Zidane (2002). Cette même année, les espoirs du tenant du titre français reposent plus que jamais sur son célèbre meneur de jeu. Mais le leader des Bleus voyage également avec une blessure musculaire vicieuse à la cuisse gauche dans ses valises. Forfait lors des deux premiers matches, il assiste de loin à la défaite retentissante contre le Sénégal, suivi d’un nul frustrant contre l’Uruguay. De retour pour le match décisif contre le Danemark, il apparaît clairement à court de forme, avec un bandage spectaculaire. La France s’incline, par ici la sortie!

. David Beckham (2002). Une année noire décidément pour les stars mondiales du moment. L’icône anglaise n’est pas épargnée, avec un métatarse cassé dans un pied. Blessé avec Manchester United, il a eu huit semaines pour tenter de se remettre. L’Angleterre, pourtant, n’est pas très confiante, à l’image de la une en forme de jeu de mots du Sun. En implorant la population à la prière, le tabloïd titre “Beck us pray”. Mais dieu est sourd. Le Spice Boy traverse dans l’anonymat le nul inaugural contre la Suède, même s’il parvient à marquer ensuite sur penalty le but de la victoire contre l’Argentine. Il ne peut toutefois rien lors de l’élimination en quart contre le Brésil et le retour prématuré à la maison va lui permettre d’achever sa guérison.

. Wayne Rooney (2006). Les années se suivent et se ressemblent pour les Trois Lions, qui perdent cette fois-ci leur buteur avant le début du Mondial allemand. Six semaines avant le coup d’envoi, là encore c’est le métatarse d’un Red Devil qui trinque. Forfait lors du premier match, “Wazza” presse son retour comme remplaçant contre Trinité-et-Tobago. En manque de rythme évident, il est fantomatique lors des deux matches suivants. Jusqu’à son “coup d’éclat” contre le Portugal en quart, en forme d’exclusion après avoir cédé à une provocation de Ronaldo, son coéquipier d’alors. Sans lui, l’Angleterre échoue une nouvelle fois aux tirs au but.

. Luis Suarez (2014). Exclu quatre ans plus tôt en quart après une faute de main spectaculaire à l’Uruguay en demi-finale, le buteur de Liverpool suscite l’inquiétude avant le Mondial brésilien. Un mois avant le coup d’envoi, son genou gauche est touché lors d’un choc à l’entraînement nécessitant une opération bénigne. Mais le délai n’incite pas à l’optimisme. En son absence, la Celeste s’incline en ouverture contre le Costa Rica. Cinq jours plus tard, son retour miraculeux ponctué par un doublé condamne l’Angleterre. Pourtant, lors du dernier match, l’affamé mord l’épaule de l’Italien Chiellini et, une fois de plus, il est exclu. Sans lui, l’Uruguay sort par la petite porte en 8e de finale contre la Colombie.

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