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Mondial-2018 : l’Argentine, aux abois

Foot > Coupe du monde Foot 2018 > Argentine > Mondial-2018 : l’Argentine, aux abois
Par Corentin DAUTREPPE,  publié le 20 juin 2018 à 11h31, modifié le 21 juin 2018 à 7h28.
 4 minutes

“Crucial”, “vital”: l’Argentine a été tenue en échec à la surprise générale par l’Islande pour ses débuts au Mondial-2018 (1-1) dans le groupe D et se retrouve déjà sous très haute pression face à la dangereuse Croatie jeudi (20h00 françaises), si bien que le sélectionneur Jorge Sampaoli pourrait bouleverser ses plans en profondeur.

Elle n’est pas seule à ne pas avoir gagné parmi les favoris (Espagne, Brésil, Allemagne…). Mais toutes les places fortes du football mondial n’ont pas le même groupe, indécis et accroché, que l’Albiceleste. Et la Croatie, épouvantail du groupe D pour les Argentins, se profile à l’horizon.

Croatie “très dangereuse”

“C’est une équipe difficile, très dangereuse, nous le savions déjà quand nous avons connu notre tirage au sort, a expliqué lundi le défenseur de Séville Gabriel Mercado. On pense que ça va être un match serré, disputé.”

La veille, le sélectionneur croate Zlatko Dalic avait expliqué que le nul inaugural de l’Argentine “leur mettait sans doute plus de pression qu’à nous”, la Croatie étant en tête de son groupe après sa victoire 2-0 contre un Nigeria bien décevant.

“La vérité est que ce match est crucial pour nous, d’autant plus en sachant que nous n’avons pas gagné les trois points” face à l’Islande, abonde Mercado, évoquant “un match vital, que nous devons gagner pour aller plus loin.”

“Les grosses équipes ne s’effondrent pas sous la pression”, estime toutefois Dalic. Une grosse équipe, l’Argentine ? Au vu de son histoire, de sa passion pour le foot, des grands joueurs qu’elle a vus naître, assurément.

Manque de repères collectifs

Mais si elle compte des cadors dans son effectif actuel, Lionel Messi bien sûr mais aussi Sergio Agüero, Paulo Dybala, Gonzalo Higuain, Angel Di Maria, voire Nicolas Otamendi ou Javier Mascherano, elle manque de cracks en défense, au milieu ou dans les buts.

Elle manque aussi de repères collectifs, son sélectionneur Jorge Sampaoli n’ayant pris ses fonctions qu’en mai 2017, en pleine campagne de qualifications. Sa feuille de route était alors dictée par l’urgence: d’abord, se qualifier pour le Mondial, ce qui n’a longtemps pas été une évidence, et ensuite seulement préparer la Coupe du Monde.

Mais la sélection n’a disputé qu’un match de préparation avant le voyage en Russie, face à une faible équipe haïtienne qui n’a rien à voir avec la Croatie par exemple. Un autre match, contre Israël, a été annulé pour cause de polémique internationale et Sampaoli a glissé que cela “a pu nous desservir un peu sportivement”.

“Plus que tout, l’Argentine doute d’elle-même. (…) L’Argentine doit se remettre sur les rails”, a commenté Diego Maradona dans son émission De la Mano del Diez sur la chaîne TV vénézuélienne Telesur. “Voir l’équipe Bleue et Blanche entrer sur le terrain c’est merveilleux pour nous, mais les joueurs, eux, il faut qu’ils se demandent à eux-mêmes +pourquoi suis-je là? qu’est-ce que je fais là ?+”.

Sampaoli à tâtons

L’ancien sélectionneur du Chili, critiqué par la star Diego Maradona après le match piteux contre l’Islande, n’a en tout cas pas fini de tâtonner pour sa composition d’équipe. Angel Di Maria, fantomatique contre l’Islande, devrait ainsi être mis sur le banc contre la Croatie, au bénéfice de l’ailier de Boca Juniors Cristian Pavon.

Surtout, le surprenant 4-2-3-1 très défensif, avec deux milieux récupérateurs tout sauf constructeurs, Javier Mascherano et Lucas Biglia, pourrait bien être déjà abandonné au bénéfice d’une défense à trois laissant le Mancunien Marcos Rojo sur le banc. Elle serait composée de Gabriel Mercado, Nicolas Otamendi et Nicolas Tagliafico. “Je crois que chacun, surtout les sélectionneurs, doivent s’adapter aux adversaires qu’ils vont affronter, a plaidé mardi le défenseur Cristian Ansaldi. Bien sûr qu’il va faire des changements, qu’il va y avoir du turnover et je crois qu’un football qui se jouerait toujours de la même façon n’existe pas”.

Face à la solide Croatie de Luka Modric, Ivan Rakitic ou Mario Mandzukic, attention quand même à ce que ces essais ne se transforment pas en crash-test.

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