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Succession de May : Nouvel écrémage des candidats, Boris Johnson en force

Politique > Union européenne > Royaume-Uni > Brexit > Succession de May : Nouvel écrémage des candidats, Boris Johnson en force
Par Clara WRIGHT,  publié le 19 juin 2019 à 4h06, modifié le 19 juin 2019 à 10h12.
 4 minutes

Boris Johnson, champion des pro-Brexit, aborde mercredi la suite de la compétition pour remplacer la Première ministre Theresa May en position de force, la question étant de plus en plus de savoir qui se qualifiera pour l’affronter en finale.

Mercredi soir, il restera trois candidats face à lui après le troisième tour du vote des députés conservateurs qui aura lieu de 14H00 à 17H00 GMT. Et jeudi, il ne restera plus qu’un seul rival.

L’ancien maire de Londres et ex-ministre des Affaires étrangères de Mme May, tenant d’un Brexit dur, a terminé mardi largement en tête du 2e tour de scrutin destiné à élire le chef des tories – qui deviendra Premier ministre. Il a récolté 126 voix sur 313.

Mercredi, outre lui, quatre candidats sont encore en lice. Celui qui rassemblera le moins de votes sera éliminé. Parmi les plus susceptibles de l’être, figurent le ministre de l’Intérieur, Sajid Javid, et celui du Développement international Rory Stewart. Ils ont obtenu respectivement 33 et 37 voix mardi.

Si la popularité de M. Stewart, chouchou de Twitter, est montée en flèche ces dernières semaines, il lui reste à convaincre davantage de députés de son parti qu’il est capable de mettre en oeuvre la sortie du Royaume-Uni de l’UE, près de trois ans après le référendum de juin 2016, qui avait vu les Britanniques voter à 52% en faveur de ce divorce historique.

M. Stewart, qui oppose son “réalisme” aux “promesses de conte de fées” de ses adversaires, a dit mercredi matin à la BBC avoir reçu “quelques réponses positives” de soutien de l’eurosceptique Dominic Raab, fugace ministre du Brexit, éliminé au deuxième tour.

Boris toujours favori

Mardi soir, les cinq candidats restant dans la course se sont affrontés lors d’un débat télévisé sur la BBC.

Boris Johnson, qui avait prudemment calibré ses apparitions dans les médias depuis le début de la campagne est apparu en retrait, ne lançant pas ses piques habituelles mais parvenant à éviter les gaffes.

“Johnson évasif et sur la défensive mais toujours favori pour Downing Street”, titrait mercredi le Guardian tandis que le Times relevait que les autres candidats ont “augmenté la pression” sur leur principal adversaire.

Lors de ce débat, M. Johnson a répété sa volonté de faire sortir son pays de l’Union européenne d’ici le 31 octobre, date-butoir pour parvenir à un accord, tout en ne s’engageant pas à “garantir” un Brexit à cette date.

“Nous devons sortir (de l’Union européenne) le 31 octobre parce que sinon je crains que l’on subira une catastrophique perte de confiance vis-à-vis de la politique”, a-t-il affirmé lors du débat mardi soir. “Les Britanniques en ont vraiment ras-le-bol”.

Hunt, l’alternative “sérieuse”

Face au grand favori, l’actuel chef de la diplomatie Jeremy Hunt veut lui incarner l’alternative “sérieuse” en mettant en avant ses succès d’entrepreneur, qui ont fait de lui un multi-millionnaire, et sa longue carrière politique.

Lors du débat sur la BBC, MM. Hunt et le ministre de l’Environnement Gove ont tous les deux affirmé qu’un nouveau report du Brexit pourrait être nécessaire si un accord de sortie était à portée de main.

A l’issue du 3e tour de scrutin mercredi, il n’y aura plus que quatre candidats en lice, et il n’en restera que deux jeudi après deux nouveaux votes.

Les deux finalistes seront ensuite départagés par les 160.000 membres du Parti conservateur le mois prochain, le vainqueur devenant le nouveau Premier ministre.

La mise en oeuvre du Brexit sera la priorité du nouveau chef du gouvernement. Incapable de mettre en oeuvre la sortie de l’UE, Theresa May a démissionné le 7 juin de ses fonctions de chef du Parti conservateur

Après trois rejets successifs par les députés de l’accord de retrait qu’elle a négocié avec Bruxelles, censé organiser une séparation en douceur, Theresa May a été contrainte de repousser au 31 octobre la date du Brexit, initialement programmé pour le 29 mars.

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