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Mondial-2018 : pour les Bleus, vaincre le Pérou comme on vainc ses démons

Foot > Coupe du monde Foot 2018 > Pérou > Mondial-2018 : pour les Bleus, vaincre le Pérou comme on vainc ses démons
Par Yann BERNAL,  publié le 20 juin 2018 à 12h14, modifié le 20 juin 2018 à 18h06.
 4 minutes

Aux confins de l’Asie et de l’Europe, avec les 8es de finale du Mondial comme horizon: les Bleus doivent battre le Pérou, jeudi à Ekaterinbourg (17h00 françaises), pour entrevoir la qualification et se rassurer après leurs débuts poussifs dans la compétition.

Sur le plan comptable, ils sont bien partis: leur succès contre l’Australie (2-1) les a postés à la première place du groupe C. S’ils remportaient leur deuxième rencontre, un seul résultat dans l’autre match du groupe la même journée les priverait de la qualification dès jeudi soir: si l’Australie battait le Danemark.

Sur le plan football, il y a eu du retard à l’allumage: l’équipe de France se doit une revanche à elle-même et à ses supporters. “J’ai bien conscience qu’on peut et doit faire mieux, que c’était insuffisant par rapport à ce que l’on doit apporter, mais cela ne concerne pas que les trois de devant”, a reconnu le sélectionneur Didier Deschamps dimanche sur TF1.

Il y a une animation à ranimer, dans laquelle Paul Pogba aura un rôle forcément scruté, lui qui répète vouloir être le “patron” de l’équipe. Il l’a été dans une certaine mesure en forçant la décision du premier match, étant à l’origine des deux buts français, mais il a aussi failli dans le lien entre milieu et attaque.

Corentin Tolisso aussi, et le jeune relayeur devrait être remplacé dans le onze de départ par l’expérimenté Blaise Matuidi, qui a fait valoir ses galons de taulier dans le vestiaire et devant la presse, ainsi que son aisance dans la projection vers l’avant.

Du neuf avec Giroud

L’autre victime pressentie devrait être Ousmane Dembélé en attaque, apparu emprunté contre l’Australie et sans doute remplacé par Olivier Giroud contre le Pérou. L’avant-centre, qui s’est fait retirer ses points de suture au front hérités d’un choc contre les Etats-Unis le 9 juin (1-1), apportera son jeu de tête et en remise auprès des feux follets Antoine Griezmann et Kylian Mbappé.

Ces deux-là aussi doivent rassurer. Griezmann a sauvé son entrée en lice par le penalty ouvrant le score, mais a reconnu avoir livré une copie en-deçà des attentes liées à son statut de leader d’attaque. Ménagé lundi en raison d’un petit pépin à une cheville sans gravité, il s’est entraîné normalement mardi.

Mbappé aussi doit apporter une réponse. Dans un sens plus collectif, si l’on en croit le message que lui a adressé le défenseur Raphaël Varane en conférence de presse mardi: “Il faut s’adapter à d’autres façons de jouer. Ce n’est facile pour personne. On a besoin de ses qualités, c’est un joueur pétri de talent. Il faut qu’il soit dans les meilleures dispositions avec une idée précise de comment jouer, combiner avec ses partenaires, comment défendre, comment presser”.

Attention au Prédateur

Varane sera aligné aux côtés de Samuel Umtiti au sein d’une défense a priori inchangée. Les deux latéraux, Benjamin Pavard et Lucas Hernandez, ont donné satisfaction. Le gardien et capitaine Hugo Lloris honorera sa centième sélection.

Le tout dans quel système tactique ? Deschamps est-il pragmatique d’un match à l’autre, ou encore en tâtonnements ? Abandonnant le 4-4-2 utilisé depuis l’Euro-2016, le sélectionneur a testé le 4-3-1-2 (ou 4-4-2 avec milieu en losange) pendant la préparation, puis opté pour un 4-3-3 contre l’Australie. Il peut également choisir le 4-2-3-1…

Cela dépend aussi du Pérou de Ricardo Gareca, une équipe sud-américaine dans l’agressivité dont la Colombie a peut-être donné un avant-goût en mars (défaite bleue 3-2 au Stade de France en amical).

Le Prédateur Paolo Guerrero, qualifié de justesse après les reculades de la justice sportive autour de sa suspension pour dopage involontaire, en sera le principal danger. Le buteur n’avait joué que la dernière demi-heure lors du revers 1-0 face au Danemark.

Les Bleus changent de fuseau horaire – il y a trois heures de plus à Ekaterinbourg qu’à Paris. Contre les Australiens, on pouvait évoquer “l’horaire, la chaleur, le terrain sec, bien sûr, mais ça ne sert à rien de se trouver des excuses, c’était pour les deux équipes”, avait souligné Varane mardi. Idem dans l’Oural avec le décalage horaire. Pour les Bleus, il y a un avion pour les 8es à prendre.

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