Menu
24matins.fr24matins.fr
Obtenir l’application
Navigation : 
  • Actualité
    • Actualités du jour
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • Santé
  • Économie
  • Politique
  • International
  • Sport
    • Foot
    • Rugby
    • Tennis
    • Basket
    • Handball
    • Cyclisme
    • Auto
  • Tech
    • Sciences
  • Divertissement
    • Cinéma
    • Séries TV
    • Musique
    • Médias
    • People
En ce moment : 
  • Ski
  • Ligue 1
  • Indonésie
  • Séisme
  • Vendée Globe

C1 dames : les Lyonnaises, indétrônables reines d’Europe!

Foot > Ligue des Champions > C1 dames : les Lyonnaises, indétrônables reines d’Europe!
Par Jeremy TALBOT,  publié le 30 août 2020 à 22h25, modifié le 30 août 2020 à 22h35.
 4 minutes

Chez les Lyonnaises, les larmes sont toujours de joie! Insatiables et inoxydables, les Françaises ont enrichi leur incroyable palmarès d'une septième étoile en Ligue des champions, la cinquième de suite en croquant les Louves de Wolfsburg (3-1) dimanche en finale à Saint-Sébastien.

Les indétrônables reines d’Europe n’ont pas pu communier avec leurs supporters, dans le huis clos du stade Anoeta, mais cela ne les a pas empêchées de hurler leur joie au coup de sifflet final, titulaires et remplaçantes s’enlaçant avec émotion sur la pelouse.

Il était alors difficile de distinguer les larmes des gouttes de pluie tombées du ciel basque, mais les sourires des Lyonnaises étaient aussi larges que leur domination, nette.

L’absence majeure d’Ada Hegerberg, héroïne de la dernière finale avec un triplé express contre Barcelone (4-1), n’a pas grippé la machine à gagner lyonnaise. Sans la Ballon d’Or 2018, forfait au “Final 8”, la lumière est venue d’Eugénie Le Sommer (25e), Saki Kumagai (44e) et la recrue Sara Björk Gunnarsdottir (88e), venue cet été de… Wolfsburg.

Si les premiers titres de 2011 et 2012 sont loin d’être anecdotiques, l’histoire retiendra plus sûrement l’impensable quintuplé de la capitaine Wendie Renard et ses lieutenantes Sarah Bouhaddi et Le Sommer, le trio de tous les sacres.

Ce règne sans partage n’a bien sûr aucun équivalent dans le football féminin, où l’OL doit repousser une concurrence toujours plus motivée à l’idée de le faire chuter. Et la comparaison avec le Real Madrid d’Alfredo Di Stefano, vainqueur des cinq premières C1 (1956-1960), ne dit rien du mérite des Lyonnaises.

“Avant de parler de l’histoire, il faut d’abord jouer”, avait d’ailleurs mis en garde Renard, bien consciente qu’une pointe de suffisance face aux Allemandes décomplexées pouvait se payer cher.

Mais finalement, l’expérience, la grinta et la vista des Lyonnaises a tué tout suspense dans ce “classique” du foot européen, quatrième finale OL-Wolfsburg après celle perdue par l’OL en 2013 et les deux gagnées en 2016 et 2018.

Cascarino en feu

Lyon “n’aime pas trop être mis sous pression”? En assénant cette formule la veille du match, l’entraîneur allemand Stephan Lerch n’a pas forcément été très inspiré. Car ses joueuses ont pris l’eau dès l’entame, notamment sous les accélérations surpuissantes de Delphine Cascarino.

La jeune attaquante avait des jambes de feu, comme sur l’ouverture du score où son centre en retrait a trouvé Le Sommer.

La N.9 a tenté une première frappe du droit et, voyant sa tentative repoussée par la gardienne, a été plus vive que la défense pour reprendre le ballon du gauche (25e).

Remplaçante en demi-finale contre le Paris SG (1-0), mais titulaire dimanche en l’absence de la suspendue Nikita Parris, l’internationale française de 31 ans a serré le poing de rage après son but libérateur.

A 31 ans, la septuple championne d’Europe marque de nouveau une finale de son empreinte, après des réalisations lors de l’épilogue 2012 (2-0 contre Francfort) et 2018, déjà contre Wolfsburg (4-1 a.p.).

Dans cette rencontre rythmée, les recrues lyonnaises ont été à la hauteur, à l’image de l’impeccable Sakina Karchaoui et de la battante Sara Björk Gunnarsdottir, ancienne “Louve” venue grossir les rangs de Lyon début juillet.

Néanmoins, c’est une historique de la maison OL qui a creusé l’écart: la milieu japonaise Kumagai (44e), d’une grosse frappe de l’extérieur de la surface à la conclusion d’une action où Cascarino, encore elle, a dynamité la défense.

Les Allemandes, réputées pour leurs ressources mentales, s’en sont aussi remises à une de leurs “anciennes”, Alexandra Popp (57e), pour revenir dans la partie à l’heure de jeu.

Mais les Lyonnaises ont mis l’engagement et la discipline nécessaires pour enlever ce sommet disputé, avec une déviation de Gunnarsdottir (88e) devant son ancienne gardienne Friederike Abt en guise de bouquet final. Une fois de plus, une fois encore, l’OL était au-dessus.

En savoir plus
  • Ligue des Champions : Rummenigge aimerait un nouveau format
  • Ligue des Champions : Les 5 matches à retenir en 2020
  • Ligue des champions de hand : battu en demi-finale, Paris voit son rêve de premier titre s’envoler
Application mobile 24matins

Dans Foot

16h25
Montpellier : Le second métier de Delort révélé
15h20
Ligue 1 (J20) : Rennes s’offre le derby breton
13h30
Atlético : Débuts en équipe B de Torres et du dernier fils de Simeone
12h55
Lukaku, Manchester lui tend les bras
11h00
National 2 : Anelka et Rami à Hyères ?
10h40
Tout savoir sur Lille – Reims
10h05
OM : Le pessimisme de Villas-Boas
9h55
Tout savoir sur Nice – Bordeaux
9h40
Tout savoir sur Nantes – Lens
9h20
Tout savoir sur Lorient – Dijon
  • Éditions :
  • France
  • Deutschland
  • United Kingdom
  • España
  • América Latina
  • South Asia
© 2021 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins.fr - ADN Contents -