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Pas de retour sans aller, une pratique des compagnies aériennes sur la sellette

Économie > Union européenne > Pas de retour sans aller, une pratique des compagnies aériennes sur la sellette
Par 24matins.fr avec AFP,  publié le 10 décembre 2018 à 18h58.
 2 minutes

Plusieurs associations européennes de consommateurs ont lancé lundi des actions coordonnées pour dénoncer la clause de “no show” des compagnies aériennes, qui empêche un usager de poursuivre son itinéraire s’il n’en a pas utilisé la première partie.

“La clause de +no show+ est tout simplement injuste. Le passager a payé pour les billets et s’attend à pouvoir les utiliser. Vous pourriez avoir raté votre vol aller, ou avoir trouvé un meilleur moyen de vous rendre à un point B, il n’y a pas d’excuses pour les compagnies aériennes d’annuler le reste de votre billet”, dénonce Monique Goyens, directrice générale du Bureau européen des consommateurs (BEUC), dans un communiqué publié lundi.

Le BEUC, qui regroupe plusieurs associations nationales de défense des consommateurs, a lui-même envoyé une lettre à la Commission européenne pour lui demander d’interdire cette pratique.

Deux organisations, aux Pays-Bas et en Grèce, ont annoncé un recours en justice contre la compagnie néerlandaise KLM, rapporte notamment le BEUC. L’association de consommateurs Which? a de son côté envoyé des courriers préalables à une action similaire pour demander à Air France, KLM, Swiss, Qatar, Emirates, BA, Virgin Atlantic, Flybe et Singapore Airlines de cesser de l’utiliser.

La clause de non-présentation, “obscure et noyée dans les termes et conditions” selon le BEUC, permet à une compagnie aérienne de refuser l’embarquement à un usager qui n’a pas effectué une première partie de son voyage (une partie de l’itinéraire ou un vol aller), quelle qu’en soit la raison.

Le BEUC donne par exemple le cas d’un Belge qui avait raté son vol aller pour New York car sa femme avait accouché le même jour. Ne pouvant pas changer son billet, il avait acheté un aller-simple à une date ultérieure. Au moment de prendre son vol retour, la compagnie a exigé un supplément de 2.000 euros pour le laisser embarquer.

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