Menu
24matins.fr24matins.fr
Obtenir l’application
Navigation : 
  • Actualité
    • Actualités du jour
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • Santé
  • Économie
  • Politique
  • International
  • Sport
    • Foot
    • Rugby
    • Tennis
    • Basket
    • Handball
    • Cyclisme
    • Auto
  • Tech
    • Sciences
  • Divertissement
    • Cinéma
    • Séries TV
    • Musique
    • Médias
    • People
En ce moment : 
  • Allemagne
  • Ligue des Champions
  • COVID-19
  • Internet
  • TPMP

La France en droit d’interdire UberPop (avocat général de la CJUE)

Économie > La France en droit d’interdire UberPop (avocat général de la CJUE)
Par 24matins.fr avec AFP,  publié le 4 juillet 2017 à 12h00, modifié le 4 juillet 2017 à 13h50.
 2 minutes

La France était parfaitement en droit d’interdire le service de transport entre particuliers UberPop, a jugé mardi l’avocat général de la Cour de justice de l’UE (CJUE), balayant les arguments de la société qui estime que les règles européennes avaient été bafouées.

Uber a été poursuivi devant plusieurs tribunaux en France sur la base d’une loi du 1er octobre 2014, contre laquelle la société américaine avait fermement bataillé avant de finalement mettre fin à UberPop, son service de transport par des chauffeurs non professionnels dans leur voiture personnelle, à l’été 2015.

Le tribunal de grande instance de Lille (nord), devant laquelle Uber est poursuivi au pénal, a demandé des éclaircissements à la Cour de justice de l’UE sur le fait de savoir si le gouvernement français avait agi conformément au droit européen.

Uber arguait en effet qu’avant d’interdire ce service, la Commission européenne devait être “notifiée” en vertu d’une directive relative aux services de la société de l’information.

Mais l’avocat général de la CJUE, Maciej Szpunar, a estimé mardi que “les États membres peuvent interdire et réprimer pénalement l’exercice illégal de l’activité de transport dans le cadre du service UberPop sans notifier au préalable le projet de loi à la Commission”.

Il estime en effet que “le service UberPop relève du domaine du transport” et ne peut être considéré comme un simple intermédiaire, par le biais de sa plateforme de réservation numérique, entre clients et chauffeurs. M. Szpunar avait déjà tenu des arguments identiques début mai dans une autre affaire concernant Uber, poursuivi devant le tribunal de commerce de Barcelone par une association de taxis.

“Nous avons vu la déclaration” de l’avocat général et “nous attendons le jugement définitif plus tard cette année”, s’est contenté de réagir mardi une porte-parole d’Uber, qui a toujours affirmé vouloir défendre “la mobilité partagée et l’innovation dans le transport”.

Les “opinions” de l’avocat général sont en général suivies par la Cour, qui doit rendre à une date ultérieure ses arrêts dans ces deux affaires. Il incombera ensuite au tribunal de grande instance de Lille et au tribunal de commerce de Barcelone de prononcer leurs jugements définitifs.

Dans Économie

21h30
Ligue des Champions : L’UEFA pourrait exclure le Real Madrid, Chelsea et Manchester City
21h30
Bayern Munich : Rummenigge explique le refus du club pour la Super League
20h30
Liverpool : Klopp vise la qualification en C1
20h30
Bordeaux : Gasset compare Monaco au PSG d’il y a quelques années
20h20
La Super Ligue, “crachat au visage”, sème la discorde dans l’Europe du foot
19h40
Tottenham : 23 millions pour Mourinho ?
18h35
OL : Garcia valorise l’attractivité de la Ligue 1
18h30
Ajax : Ça se complique avec Onana
18h10
Premier League : José Mourinho licencié par Tottenham
18h10
Une Super Ligue européenne aussi pour les filles ?
  • Éditions :
  • France
  • Deutschland
  • United Kingdom
  • España
  • América Latina
  • South Asia
© 2021 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins.fr - ADN Contents -