Pierre Ménès : Après avoir été contaminé, le commentateur sportif souhaite se faire vacciner contre le COVID-19
L'homme, classé parmi les personnes à risque, s'étonne de ne pouvoir se faire vacciner contre le COVID-19.
La campagne de vaccination contre le COVID-19 a débuté partout dans le monde, dont en France. Mais sur notre territoire, beaucoup jugent que le gouvernement est très en retard, avec un très faible taux de personnes vaccinées quotidiennement. Une gestion sur laquelle reviennent également les personnalités de la télévision, comme Pierre Ménès. Car après avoir contracté le COVID-19, le commentateur sportif est surpris de ne pas avoir accès au vaccin, alors qu’il appartient aux personnes à risque. Invité des Grandes Gueules sur RMC, l’homme de 57 ans a poussé un énorme coup de gueule, comme le rapporte Télé-Loisirs.
Pierre Ménès a tenté de se faire vacciner contre le COVID-19, en vain
Le commentateur sportif, dont la santé est fragile, a déjà été contaminé par le COVID-19. Une épreuve que l’homme a affronté, se remettant de la maladie. Malheureusement, Pierre Ménès révèle ne plus avoir d’anticorps pour lutter contre le virus et a tenté de se faire vacciner, en vain. Le journaliste sportif pousse un énorme coup de gueule contre la campagne vaccinale française, largement critiquée pour sa lenteur.
J’ai appelé mon hépatologue à l’hôpital Beaujon pour savoir si elle pensait que je devais me faire vacciner ou pas. Sa réponse, sans la moindre ambiguïté, a été oui. A partir de là, je cherche. Quand ma femme l’a eu, six mois après moi, j’ai fait un test sérologique, et je suis négatif. Donc je n’ai plus d’anticorps.
Pierre Ménès est également remonté contre Samia Ghali, adjointe au maire de Marseille, qui refuse de se faire vacciner. Pour l’homme, cette dernière ne donne pas le bon exemple.
Franchement, quand j’entends Samia Galhi qui, en tant que personnalité politique, dit qu’elle ne veut pas aller se faire vacciner parce qu’elle n’a pas confiance, je trouve ça irresponsable. Elle a tout à fait le droit de le penser, mais elle a aussi le droit de la boucler et de ne pas faire partager sa suspicion à tout le monde.