New York : Le cannibale de la police risque la prison à vie
Ce cannibale de New York voulait enlever des femmes. Ces dernières auraient été ensuite tuées puis cuites dans un four.
Cette affaire de New York avait fait beaucoup de bruit lorsqu’elle avait été révélée dans la presse. Ce policier fréquentait de nombreux sites Internet réputés gores. Il avait mis en place un stratagème et repéré certaines victimes. Ces dernières devaient donc être enlevées, tuées puis cuites dans son propre four. Il s’était d’ailleurs interrogé sur la grandeur de son appareil. Ce dernier n’aurait pas pu accueillir une jeune femme. Ce policier a donc comparu devant le jury pendant 4 jours. Celui qui a été surnommé le Cannibal Cop a donc été reconnu coupable. Toute cette affaire a commencé grâce à la femme du policier qui a eu des soupçons sur les agissements de son mari. Elle a donc dénoncé Gilberto Valle, ce qui a permis aux enquêteurs de découvrir dans son ordinateur ses plans.
Pas de passage à l’acte
Le cannibale de New York n’avait jamais concrétisé ses pensées, mais les 12 jurés ont estimé qu’il était tout à fait capable de passer à l’acte. Ils ont eu l’opportunité de regarder de nombreuses preuves. La défense a tenté de montrer aux jurés qu’il n’y avait pas de données fiables témoignant du futur passage à l’acte du Cannibal Cop. Les avocats estimaient qu’un homme ne pouvait pas être reconnu coupable et condamné pour ses pensées. Malheureusement, les nombreuses découvertes faites par le FBI ont été contre cette déclaration. Le policier de New York se documentait et avait téléchargé un nombre impressionnant de documents concernant la torture, le viol. Le cannibalisme était également l’une de ses passions.
Prison à vie
Le jury a eu l’occasion de contempler toutes ces preuves qui étaient accompagnées de simulations de scènes de cuisson. Le policier s’était interrogé sur la grandeur de son four, il avait donc fait des recherches sur Internet pour tenter de résoudre ce problème. Il doit désormais attendre le 19 juin prochain pour connaître la peine, mais au vu des faits, il risque la prison à vie. De son côté le procureur de Manhattan a fait part de sa satisfaction, il a souhaité ajouter que le libre échange d’idées est tout à fait possible sur la toile, mais il ne faut pas l’utiliser pour des crimes.