L’un des chroniqueurs de TPMP n’était pas fan des « blagues » et « déguisements »
Bernard Montiel préfère la nouvelle formule de Touche pas à mon poste malgré une ambiance beaucoup plus pesante sur le plateau.
Depuis la pandémie de Covid-19, la formule de Touche pas à mon poste est très différente. Beaucoup plus politique, certains spectateurs reprochent même à l’émission d’être trop sérieuse et polémique. Une critique que n’approuve pas Bernard Montiel, chroniqueur de l’émission. Invité sur les ondes de Sud Radio, l’homme confie que la précédente formule, avec des blagues et des déguisements, ne l’amusait pas vraiment… Cette dernière l’a même poussé à envisager un départ, parlant notamment à cause d’un running gag de Cyril Hanouna (ce dernier s’amusait, pendant toute une saison, à balancer du chocolat sur le visage de ses chroniqueurs, par surprise).
Bernard Montiel se dit satisfait de la nouvelle formule de Touche pas à mon poste
Bernard Montiel revient dans Touche pas à mon poste à la rentrée, désormais chouchou de Cyril Hanouna. Une émission beaucoup moins feel good depuis cette saison avec de nombreux débats très polémiques (véganisme, voile, islam). Cyril Hanouna semble avoir abandonné l’humour au profit d’une ligne éditoriale plus politique. Si certains spectateurs ne sont pas forcément heureux, Bernard Montiel apprécie ce changement, rapporte Télé-Loisirs.
Souvent j’ai été en bisbille avec TPMP parce que ça ne me convenait pas vous savez les blagues, les déguisements… Ce n’est pas mon truc. Le chocolat encore moins ! Moi je le croque, je ne me le mets pas sur la figure ! Tout ça me déplaisait et j’hésitais à re-signer.
Mais depuis ce changement de ligne éditoriale, Bernard Montiel n’a pas hésité à re-signer et se dit très satisfait.
Je suis très heureux de la nouvelle formule où on a des dossiers. On a eu tous les soirs les gens qu’il fallait avoir, les personnalités qui font l’actualité. J’ai re-signé cette année avec beaucoup de bonheur. Je trouve que c’est une émission formidable. Cyril a très bien tenu ça. On traite des dossiers très différents, cela dure un quart d’heure à vingt minutes, selon l’intensité du débat.