Mais Julie Gayet reconnaît, en plus de la maladie de son fils, qu’il y a eu des « divergences de vues » avec son associée Nadia Turincev.
Quand je vois ce qui nous attend, les difficultés que le monde du cinéma va devoir affronter dans les prochaines années, je me dis que cette décision a été la bonne. Ça va être long avant que les gens retournent dans les salles. Je vais profiter de ce moment pour me réinventer en tant que productrice par rapport au poids grandissant des plates-formes numériques