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Joakim Noah confie qu’il aurait pu tomber dans la délinquance

Divertissement > People > Yannick Noah
Par Gael Brulin,  publié le 19 décembre 2016 à 17h45.

Si Joakim Noah reconnaît qu'il aurait "pu glisser facilement sur la mauvaise pente", le basketteur apparaît "super fier" de ce qu'il a obtenu par le sport, parce qu'il n'était, de par son statut privilégié, "pas obligé de faire tout ça".

Avant d’être le basketteur de renom d’aujourd’hui, Joakim Noah a dû passer, comme bon nombre d’adolescents, par des épreuves extra-sportives pour se faire une place dans la société. Né en 1985 à New York, il va toutefois passer les treize premières années de sa vie en France, dans la région parisienne. Avant de retourner vivre aux États-Unis avec sa sœur et sa mère sur décision de cette dernière.

Auprès de L’Équipe Magazine, Joakim Noah évoque un changement notable d’environnement sans pour autant dénigrer sa nouvelle vie à l’ouest de Manhattan : “Quand on s’est installés, c’était plus dur comme quartier, moins ‘fréquentable’. On habitait dans une ‘brownstone’ et il y avait, à dix minutes de chez nous, une cité assez chaude. C’est là que j’allais jouer au basket. Alors, oui, je suis fier d’être de ce quartier, d’avoir grandi là”.

Joakim Noah : “Je refusais l’autorité”

Ce qui ne l’a, malgré tout, pas empêché d’être un enfant dit “à problème” : “J’aurais pu glisser facilement sur la mauvaise pente, vers la délinquance. J’ai quand même dû changer plusieurs fois de lycée. Parce que j’étais un peu…. ‘chtarbé’. J’étais très difficile à maîtriser. Je refusais l’autorité. Énormément”.

Joakim a cependant pu compter sur Tyrone Green, son professeur de basket, pour aider sa mère, sa sœur et lui à surmonter leurs difficultés : “Il y a quand même eu des moments où maman était toute seule, ici, avec ma sœur et moi; et quand elle était débordée, c’est monsieur Green qui venait lui donner un coup de main, qui remettait de l’ordre. Bien sûr, papa le faisait aussi, mais il était loin”.

“Super fier” car “pas obligé de faire tout ça”

Au final, le pivot des Knicks de New York ne cache pas sa joie d’avoir obtenu un succès que sa vie relativement aisée ne l’incitait pas forcément à aller chercher :

“Je suis super fier car je n’étais pas obligé de faire tout ça. Je suis né dans une famille privilégiée, mon père était un champion, quelqu’un de connu. Mais ces moments-là sont à moi et je ne les dois à personne”.

Le Récap
  • Joakim Noah : “Je refusais l’autorité”
  • “Super fier” car “pas obligé de faire tout ça”
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