Ingrid Chauvin : condamnation pour le vol de ses photos de famille
Quatre personnes ont été condamnées pour volé l'ordinateur d'Ingrid Chauvin et avoir tenté d'obtenir une rançon pour ses photos de famille.
Le 7 février, quatre hommes ont été condamnés par le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence pour des faits de recel et de tentative d’extorsion. Comme l’indique LCI, les quatre prévenus avaient tenté de vendre des photos de famille appartenant à Ingrid Chauvin, découvertes dans son ordinateur portable, qui avait été volé.
Ingrid Chauvin s’est fait voler son ordinateur en 2014
C’est le 7 mai 2014 que la comédienne, alors sur le tournage d’un épisode de Camping Paradis, s’était fait dérober son appareil. Le vol avait été commis à Martigues, dans le sud de la France, et l’auteur n’a jamais été retrouvé.
Cependant, d’autres individus récupèrent l’ordinateur, et parviennent à déjouer la sécurité pour exploiter les données qui y sont stockées. Quatre complices découvrent alors des photos de famille, et notamment celles du bébé d’Ingrid Chauvin, décédé à 5 mois le 27 mars 2014.
Les receleurs, sans aucun scrupules et motivés par le gain, décident de contacter les rédactions people, et font pour cela appel à un autre complice, réputé dans le milieu pour être habitué à ce genre de chantage. Ce dernier, au moment des faits, est incarcéré depuis 5 ans pour vol aggravé en région parisienne.
Tentative de vente des photos volées à la presse people
C’est depuis sa cellule que le détenu contacte la presse pour vendre les images volées, mais aucun journal n’accepte le marché. Devant les échecs répétées, le maitre-chanteur finit par contacter Ingrid Chauvin et Thierry Peythieu, son mari, pour leur proposer le rachat de leur propre ordinateur pour 1200 euros.
Un rendez-vous est fixé, et la transaction s’effectuer le 13 mai 2014, et c’est également à ce moment-là que les malfaiteurs sont interpellés six jours après le vol. Le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence a donc condamné deux des prévenus à 4 mois de prison ferme et 1000 euros d’amende, alors que celui qui était parvenu à déverrouiller l’ordinateur écope d’une peine de 4 mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende. Le détenu qui a initié le chantage, depuis sa cellule de prison, sortira quant à lui en 2022, avec cinq mois de retard en guise de sanction.