Françoise Hardy révèle que son état de santé empire au fil des jours
L'icone de la chanson française va plus mal que jamais et se confie de nouveau sur sa santé fragile.
Françoise Hardy est discrète ces dernières années. La pandémie n’a pas arrangé les choses puisque la femme est très fragile, atteinte d’un cancer. La chanteuse ne peut plus donner de la voix et a plusieurs fois partagé son calvaire. Cette dernière souffre d’une tumeur du cavum et subit un lourdement traitement à base de radiothérapie et immunothérapie. Malgré ses difficultés, Françoise Hardy donne des interviews et s’est confiée à Gala, révélant être sourde. La chanteuse explique que son « état empire de jour en jour (…) Expliquer pour la énième fois les problèmes qui me gâchent la vie serait fastidieux pour tout le monde ».
Françoise Hardy se confie sur son quotidien terrible et l’idée de la mort
Icone de la chanson française, Françoise Hardy ne peut plus exercer son art, manquant de salive à cause de son traitement dont « les rayons ont brûlé mes glandes salivaires (…) Vivre sans salive, avec toute la tête asséchée, frise le cauchemar ». La chanteuse est aussi victime de « pics fréquents lors des détresses respiratoires ou hémorragiques » ajoutant à sa souffrance.
Malgré cette santé fragile, Françoise Hardy a été entourée en pleine pandémie. La chanteuse rapporte que « ces problèmes (de santé) me confinaient d’ores et déjà. Mais j’ai la chance d’avoir des amis très dévoués, surtout mon ami Marc Maréchal qui a continué à m’apporter les produits alimentaires frais dont j’avais besoin chaque semaine ».
Atteinte physiquement et mentalement, Françoise Hardy révèle penser à la mort et la tristesse de ses proches.
Ce sont mes problèmes physiques cauchemardesques qui influent sur mon moral. Chaque fois que j’ai un petit mieux, mon moral remonte un petit peu. Hélas, cela arrive rarement et cela ne dure pas. J’essaie de me dire et de faire comprendre que la mort n’est que celle du corps physique qui, en rendant l’âme, la libère. Je suis obligée de vivre au présent. Penser que je vais devoir quitter tôt ou tard les êtres que j’aime le plus au monde, imaginer leur peine, cela me fait pleurer.