Delarue : L’animateur n’aurait pas écrit intégralement son livre
Delarue remettait les pendules à l’heure plusieurs mois après sa mort à travers Carnets secrets. Cette œuvre autobiographique permettait à l’ancien animateur de régler ses comptes depuis l’au-delà. Pourtant, les rumeurs sont nombreuses et Jean-Luc Delarue n’aurait pas écrit ce livre.
Delarue a proposé au public un livre poignant dans lequel les déclarations sont pleines d’émotions. Il se confit et partage son ressenti notamment sur la maladie et sa famille. Sa mère qualifiée de froide et de hautaine n’est pas mise en valeur, cette violence dans les propos est incompréhensible pour le père de Jean-Luc Delarue. Ainsi, dans une interview donnée à VSD, il est persuadé que le livre autobiographique a été arrangé, car son fils ne serait pas réellement l’auteur. Ainsi, l’intégralité de l’œuvre de Delarue n’aurait pas été écrite de sa main. Des déclarations qui viennent une nouvelle fois relancer le débat et la guerre au sein de sa famille. Paru depuis le 5 décembre, Carnets secrets faisait du bruit dans la presse via de poignantes déclarations. Les passages concernant sa mère qui sont assez durs ne seraient pas de Jean Luc.
Des passages mensongers
Certains passages qui sont dédiés à Élisabeth Bost, la mère de son fils et son ancienne compagne auraient été arrangés. Il estime lors de cette interview « Ce n’est pas le livre de Jean-Luc. C’est le contraire de Jean-Luc. C’est un livre sale ». Jean-Claude demande donc l’ouverture d’une enquête qui pourrait tenter de déceler le vrai du faux. Selon son père, il est difficile de savoir ce que son fils a écrit ou ce qui a été éventuellement rajouté. Il indique également que certains passages auraient pu être écrits sous l’emprise de la drogue, lors de son traitement contre le cancer ou son sevrage.
Ce genre de déclaration n’est pas unique puisque Élisabeth Bost avait tenté de faire interdire la publication du livre de son ancien compagnon. Aujourd’hui, elle fait part de son intention, celle d’assigner en justice les personnes à l’origine de la publication, les éditions de l’Archipel. Selon Élisabeth Bost, des passages sont mensongers, injurieux, diffamatoires, les textes la concernant portent atteinte à sa vie privée et à son honneur.