Covid-19 : Philippe de Villiers explique que son remède à base de pastis était du « second degré »
Philippe De Villiers est revenu sur ses propos, expliquant que le remède miracle n'était qu'un trait d'humour.
Le 18 mai, Philippe de Villiers a fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux. Et pour cause : l’homme affirmait avoir guéri du Covid-19 grâce à un remède à base de pastis et d’hydroxychloroquine soufflé par Didier Raoult. C’est sur le plateau de Pascal Praud que l’homme a fait cette révélation, provoquant l’hilarité de l’animateur de L’heure des pros sur CNews. Très rapidement, beaucoup de spectateurs avaient moqué cette guérison ne reposant sur aucun fondement scientifique. Mais aujourd’hui, on apprend que Philippe de Villiers est embêté de la situation et parle de « second degré ».
Philippe De Villiers très embêté par la réaction des spectateurs
C’est une séquence lunaire qui a fait réagir les spectateurs. Philippe De Villiers expliquait avoir guéri du Covid-19 avec un remède à base de pastis et hydroxychloroquine. Si l’homme semblait plus sérieux que jamais, Pascal Praud précise aujourd’hui que ce dernier aurait en réalité voulu faire preuve d’humour. Philippe De Villiers lui-même l’a appelé pour clarifier la situation. Malgré tout, même Pascal Praud semble s’interroger sur la véracité de cette clarification…
Son anecdote sur le pastis… Vous pensez que c’était du second degré ? Il m’a appelé hier et il m’a dit : ‘attention, il y avait une part de second degré dans ce que j’ai dit’. Comme les réseaux sociaux se sont enflammés sur cette anecdote, il faut que je vous en parle. Hier vers 17h, il m’a appelé, il était ennuyé parce que tout le monde sur les réseaux sociaux en parlait. J’ai pas vu forcément du second degré au moment où il le disait.
Pour rappel, Philippe De Villiers avait expliqué que ce remède lui avait été soufflé par Didier Raoult : « On a échangé au téléphone. D’abord, je lui rends hommage, je l’aime beaucoup. […] Il m’a tout de suite donné le traitement. Je le prends dans l’eau, comme on le prend à Marseille. Comment dirais-je… Il faut au moins deux doses ».