COVID-19 : Patrick Sébastien se défend d’être un complotiste et réclame le droit de s’interroger
Patrick Sébastien est revenu sur ses positions complotistes mais souhaite que les français soient vaccinés.
Patrick Sébastien était récemment l’invité de Sud Radio. Ce dernier s’est expliqué sur les propos complotistes tenus récemment, provoquant la grogne des internautes, mais invite à la vaccination. L’artiste se réserve le droit de poser des questions quant à la véritable origine du virus, tout en invitant à la prudence en adoptant une position nuancée. Des propos relayés par Télé-Loisirs.
Patrick Sébastien se défend d’être complotiste
Les complotistes se sont multipliés depuis le début de la pandémie, soutenu par France Soir qui profite de son nom historique pour répandre pléthore de fausses informations. Sans oublier le documentaire Hold-Up, bourré d’erreurs et pourtant soutenu par des célébrités comme Christophe Willem et Juliette Binoche. Jean-Marie Bigard a également été épinglé pour ses théories complotistes sur les réseaux sociaux et les plateaux télévisés, radios…
Patrick Sébastien a aussi été pointé du doigt comme complotiste, parlant d’un virus pensé pour cibler les personnes fragiles dans un but précis. Et l’artiste s’en défend chez Sud Radio.
On me dit que c’est affreusement complotiste ! J’ai dit que je me posais une question en disant que ce virus tue en priorité les improductifs, les malades etc. Est-ce qu’il est là par hasard ? Ça veut dire que peut-être que ce virus a été balancé ! Moi je n’en sais rien, je ne l’affirme pas ! J’ai le droit de me poser la question que ce virus ne serait peut-être pas arrivé par hasard !
L’artiste en a également profité pour inviter à se faire vacciner.
C’est vrai que ce virus détruit surtout les gens qui sont malades. Pourquoi on nous a menti sur les masques en disant qu’ils ne servaient à rien alors qu’il suffisait de dire la vérité ? Moi je sais qu’il faut se faire vacciner, ils ont foutu la trouille avec AstraZeneca parce qu’il y a eu 5 morts sur 5 millions de doses.