Carla Bruni refusait de dîner avec « ce président de droite » avant de rencontrer Nicolas Sarkozy
Carla Bruni n'était pas enchantée à l'idée de rencontrer Nicolas Sarkozy mais aurait vite changer d'avis...
Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, une idylle qui dure depuis près de 13 ans. L’ancien président de la République a rencontré la chanteuse et mannequin en 2007 avant un mariage en 2008 qui avait beaucoup fait parler. Lors de son investiture, des journalistes avaient même questionné Nicolas Sarkozy à propos de son histoire avec Carla Bruni. Après une union scellée dans le palais de l’Elysée, le couple a mis au monde une enfant, Giulia, en 2011. Pourtant, la chanteuse n’était pas très emballée à l’idée de rencontrer « un président de droite ». C’est ce que raconte Anne-Sophie Beauvais dans son livre Le Ghetto, comme nous le rapporte Télé-Loisirs.
Nicolas Sarkozy aurait voulu faire « mieux que Marilyn (Monroe) et (John) Kennedy »
Anne-Sophie Beauvais révèle la rencontre entre Carla Bruni et Nicolas Sarkozy à l’occasion de la sortie du livre Le Ghetto, le 7 avril prochain. Une rencontre qui aurait eu lieu en novembre 2007 lors d’une soirée à Marnes-la-Coquette, organisée par Jacques Séguéla. Lors de cette soirée, Carla Bruni a été informée de la présence de Nicolas Sarkozy et aurait refusé de venir, arguant « dîner avec ce président de droite, jamais ». Mais Jacques Séguéla aurait alors insisté, expliquant que « tu te trompes sur lui, il va te séduire en vingt minutes ».
Pour Nicolas Sarkozy, c’est tout le contraire. Le président de la République, fraîchement divorcé, est heureux que Carla Bruni soit présente : « lorsqu’il apprend que Carla Bruni sera présente, un blanc s’invite dans la conversation… un blanc qui se termine par cet aveu : ‘C’est la femme que je rêve de rencontrer’ ».
Et ça n’a pas loupé puisque Nicolas Sarkozy a réussi à séduire Carla Bruni lors de ce dîner : « il déplace sa chaise, se rapproche de Carla, se penche vers elle et commence à lui parler à l’oreille. Personne, autour de la table, n’entend ce qu’il lui dit. ‘Tu sais, Carla, je ne suis pas un cadeau’. Tu verras, nous ferons mieux que Marilyn et Kennedy ».