Antoine de Caunes parle de l’après Grand Journal, très difficile pour l’animateur
L'animateur confie que cet arrêt brutal a été responsable d'une dépression.
Les traversées du désert ne sont jamais aisées après plusieurs années au sommet. Antoine de Caunes l’a connu après l’arrêt brutal et inattendu du Grand Journal de Canal+. Depuis, l’animateur s’est largement rattrapé. L’homme présente notamment Profession sur la même chaîne, remplaçant Michel Denisot. Une émission musicale dont Antoine de Caunes assure actuellement la promotion, invité au micro de Culture Médias sur Europe 1. L’occasion pour l’animateur de parler de cette période difficile après Le Grand Journal alors que toute l’équipe était remontée à bloc, convaincue du renouvellement de l’émission.
Un souvenir un peu désagréable pour Antoine de Caune
Antoine de Caunes présente désormais Profession sur Canal+, des années après l’arrêt du Grand Journal. Mais l’animateur prépare aussi la sortie de son livre appelé Perso pour le 14 octobre prochain. L’occasion de parler de certains moments difficiles de sa carrière. Et la fin du Grand Journal est l’un d’eux puisque l’homme confie que l’équipe était remontée à bloc, prête pour une nouvelle saison. « Le contre-coup était rude », explique ce dernier.
Antoine de Caunes, honnête à ce propos, révèle que l’arrêt de l’émission l’a plongé dans une dépression. Maïtena Biraben a repris le programme culte de Canal+ par la suite.
Le contre coup a été rude parce qu’on était reparti pour une troisième saison. On était en chauffe, on était en piste. On avait tous les conducteurs prêts. Et puis un brutal changement de vie comme ça arrive souvent dans ce métier. Donc le temps de se re-stabiliser ça a correspondu à une petite déprime…
L’animateur n’a présenté que pendant deux ans l’émission et on comprend aisément sa frustration et déprime après avoir été remercié par Canal+. Comme précisé précédemment, Antoine de Caunes bosse toujours avec le groupe et présente Profession dans un registre totalement différent. Qui sait, peut-être que l’homme reprendra, un jour, l’animation du Grand Journal ?