Actualités du jour : Un robot chinois sur la lune, Benjamin Griveaux et les agitateurs, L’église lutte contre la pédophilie
Comme chaque soir, 24matins vous a concocté un résumé des 5 infos immanquables de ce vendredi 4 janvier 2019. C'est parti !
Un petit robot motorisé chinois a commencé à explorer la face cachée de la Lune, a annoncé vendredi l’agence spatiale chinoise après l’alunissage historique de son module d’exploration Chang’e-4, saluant un “grand pas pour le peuple chinois”. La Chine investit des milliards dans son programme spatial, piloté par l’armée. Elle place des satellites en orbite, pour son compte (observation de la Terre, télécommunications, système de géolocalisation Beidou) ou pour d’autres pays. Elle espère également envoyer des humains sur la Lune (Toutes les infos dans notre article ICI).
Le gouvernement a affiché vendredi à la fois sa fermeté et son ouverture à la veille d’une nouvelle mobilisation des “gilets jaunes”, en opposant “les agitateurs” qui “veulent renverser le gouvernement” aux “gens sincères” avec lesquels l’exécutif est “prêt à discuter”. “La loi, rien que la loi, toute la loi”, a martelé Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, à l’issue du premier conseil des ministres de l’année, dont les propos sont à retrouver ICI.
Lutte contre la pédophilie : des avancées de l’Eglise mais sans “électrochoc” : Écoute des victimes, commission d’enquête… L’Eglise catholique en France, pressée de réagir après l’affaire Barbarin et la révélation d’autres scandales de pédophilie, a opéré une “prise de conscience” mais est encore loin d’un “électrochoc” nécessaire, selon de nombreuses voix.
Des salariés de Huawei ont été sanctionnés pour avoir envoyé un tweet avec un iPhone. Dans sa note interne, le groupe Huawei indique avoir rétrogradé d’un rang deux salariés jugés responsables, mais aussi avoir réduit leur salaire mensuel de 5.000 yuans (environ 639 euros). Le salaire du directeur du marketing numérique du groupe sera également gelé pendant une année.
Élections en RDC : inquiétude et pressions pour connaître le résultat. Les pressions augmentent de toutes parts sur les autorités congolaises pour que la commission électorale proclame des résultats à la présidentielle conformes au choix des électeurs et qui pourraient être favorables à un candidat de l’opposition pour la succession du président Joseph Kabila. Toutes les infos sur ce lien.
Pour retrouver les infos de la mi-journée, écoutez notre podcast.