William Spengler met le feu à sa maison pour tuer des gens
Ce sexagénaire, William Spengler a délibérément mis le feu à sa maison, car il voulait tuer un maximum de gens. D’ailleurs, il a laissé une lettre incroyable, glaciale que les policiers ont trouvé sur le lieu du drame. Deux personnes sont mortes.
La veille de Noël, cet homme, William Spengler âgé de 62 ans met le feu à sa maison où il attend les pompiers. Ces derniers ne connaissent pas le danger qui les attend, car le sexagénaire est lourdement armé. Le chef de la police de Webster, Gerald Pickering indique à la presse que l’homme était « équipé pour la guerre, pour tuer des innocents ». Lorsque le feu se déclare dans sa maison et une voiture, le sexagénaire attend les pompiers munis d’un fusil d’assaut. Lorsqu’ils arrivent sur les lieux, il commence à tirer et tue deux d’entre eux. Instantanément, un policier comprend que la situation est dangereuse alors il riposte. Selon le chef, cette attitude permet à plusieurs personnes d’être sauvées, car le sexagénaire se suicide. Deux autres pompiers sont également blessés lors de cette fusillade.
Sa passion, tuer des gens
Après avoir maîtrisé le feu, les pompiers référencent 7 maisons détruites. Les enquêteurs prennent rapidement le relais et constatent la présence de restes humains. Ces derniers pourraient appartenir à sa sœur, mais ils ne savent pas si cette dame est décédée avant ou pendant l’incendie. William Spengler avait donc délibérément tendu un guet-apens aux forces de l’ordre. Ce n’est pas la première fois qu’il agit de la sorte, car le meurtre était une passion pour cet homme. Il avait déjà tué sa grand-mère à coups de marteau et fait 18 ans de prison pour ce massacre. Depuis 1980, William Spengler s’était fait discret, mais il a ressurgi la veille de Noël en tuant sa sœur, deux pompiers et en brûlant 7 maisons.
Dans cette petite ville du nord est des États-Unis, les pompiers ont retrouvé une lettre effrayante. Le tueur se confie et indique « Je dois encore me préparer pour voir combien de maisons du quartier je peux brûler et faire ce que j’aime le plus, tuer des gens ». Dans 2/3 pages, l’homme se confie et le chef de la police a indiqué que cela faisait froid dans le dos. Malheureusement, cet homme fait échos à la fusillade de Newtown, car il possédait comme Adam Lanza un fusil d’assaut calibre 223.