Valérie Trierweiler relaie un tweet sur les “sans-dents”
Valérie Trierweiler a relayé dimanche sur Twitter un message contenant l'expression des "sans-dents". Un nouveau message anti François Hollande qui pourrait encore faire grincer des dents.
Comme cela est de coutume après toute intervention, publique ou non, d’un haut responsable politique, l’opposition dégaine de manière plus ou moins juste. Après son discours du 14 juillet, François Hollande n’a évidemment pas manqué de faire réagir, notamment chez le député de l’Eure Bruno le Maire.
Au lendemain de l’intervention du président, l’ancien secrétaire d’État aux Affaires européennes avait ainsi déclaré ne pas avoir vu “un président de la République audacieux”, mais avoir plutôt observé “un président content, satisfait de lui-même, heureux d’être là où il se trouve mais incapable de prendre les décisions nécessaires pour le pays et, dans le fond, indifférent”.
Twitter : Trierweiler relaie le message d’un “sans-dents”
Samedi, l’exécutif s’était exprimé sur la question des éleveurs, dont la colère envers la grande distribution semble difficile à contenir en raison d’une rémunération des premiers jugée trop faible. Ses propos, appelant notamment à privilégier l’achat de viande d’origine française, auront motivé la rédaction et la publication d’un tweet relayé un peu plus tard par l’ex-compagne de François Hollande Valérie Trierweiler.
Le prix de la viande!!?? J'm'en fout moi! j'suis un #sansdents. @valtrier @fhollande
— CHAGRINCHEUX (@chagrincheux) July 18, 2015
Le retour d’une expression attribuée à Hollande
Dans ce message, l’internaute s’était semble-t-il amusé au sujet du prix de la viande en se désignant tel un “sans-dents”. Pour rappel, il s’agit d’une expression que Valérie Trierweiler avait attribuée à François Hollande dans son livre “Merci pour ce moment”. Une expression qui, selon l’auteur de l’ouvrage, était utilisée par le président de la République pour nommer les personnes aux faibles revenus. Une expression toutefois que l’exécutif a depuis réfuté d’avoir jamais utilisée, en tout cas pour cet usage. Son retour dans l’actualité signe, d’après Le Dauphiné Libéré, la première attaque de Valérie Trierweiler envers François Hollande depuis un certain temps.