Toulouse : un homme ivre vide une bombe lacrymogène dans le métro
Vendredi midi, un homme en état d'ébriété a vidé le contenu d'une bombe lacrymogène dans une rame du métro de Toulouse. Son but supposément déclaré, "s'amuser".
Les faits observés vendredi midi dans le métro de Toulouse n’ont, semble-t-il, eu aucune gravité conséquente. Un homme en état d’ébriété a vidé le contenu d’une bombe lacrymogène dans une rame. Une source policière rapporte qu’il est aux alentours de 12h15 quand un individu âgé de 29 ans se livre à ce geste atypique.
Il est constaté que le jeune homme est passablement éméché, expliquant ainsi possiblement la raison de son acte. Aux policiers, il aurait déclaré avoir vidé cette bombe lacrymogène pour “s’amuser”. Nos confrères de Côté Toulouse, qui relatent l’information, ne précisent cependant pas si des voyageurs ont pu être incommodés par l’incident.
Bombe lacrymo vidée dans le métro : il voulait “s’amuser”
L’homme a été interpellé avant son placement en garde à vue. Une histoire qui peut en rappeler une autre survenue à l’été dernier dans ce même métro toulousain. Un homme aura ainsi été placé en garde à vue après avoir laissé penser que sa ceinture était explosive.
Le 22 juillet, en début d’après-midi, un équipage de la Brigade anti-criminalité (BAC) intervient au niveau de la ligne A pour interpeller un individu suspect. Ce dernier portait une ceinture que les passagers prenaient pour une ceinture explosive.
Un précédent similaire à Toulouse en juillet
Les transports en commun Tisséo ont indiqué pour leur part que “l’homme a fait croire qu’il avait une ceinture d’explosif alors qu’il se trouvait à la station Saint-Cyprien. Les clients ont immédiatement quitté la rame et prévenu le centre de contrôle. Tout a été suivi par les caméras de vidéosurveillance. Les forces de l’ordre sont intervenues et ont interpellé l’individu qui, entre temps, était sorti au niveau des Arènes.”
Tisséo qui aura au passage communiqué son intention de porter plainte, et une enquête d’avoir, dans le même temps, été ouverte et confiée à la Sûreté départementale.