Torturé par ses parents, le petit garçon aurait été amputé du pénis
Le petit garçon âgé de 2 ans a été torturé par ses parents. Les médecins auraient été contraints de procéder à l’ablation de son pénis.
La Belgique est secouée une nouvelle fois par une histoire insupportable. Gaëlle Verhamme et son compagnon ont comparu mardi matin devant la chambre du conseil de Tournai. Âgés de 26 et 24 ans, ils ont été inculpés de traitement inhumain et de coups et blessures selon Sud Info. Le petit garçon de 2 ans a vécu un véritable calvaire, selon une source proche de l’enquête « Il n’y avait plus un centimètre carré de sa peau qui n’était pas tuméfié ». Le jeune homme torturait l’enfant et la mère de famille était au courant, mais elle ne l’a pas dénoncé par amour. Elle a également affirmé qu’elle n’avait porté aucun coup à l’enfant.
Une corde autour du sexe
Le sexe du petit Bryan était lié avec une corde, car ses parents ne voulaient pas qu’il fasse pipi au lit selon le journal. Les médecins ont constaté que le sexe de l’enfant était nécrosé. La circulation du sang n’a pas pu se faire normalement. Les médecins n’auraient donc pas pu sauver le pénis du petit garçon, il aurait subi une ablation. Désormais, les parents rejettent la faute sur l’autre. La mère de famille a expliqué que son compagnon était responsable. Ce dernier a reconnu qu’il était chargé de le punir, car il était selon lui trop turbulent.
De nombreux coups
Le petit garçon avait été transporté en urgence la semaine dernière à Bruxelles. Il souffrait de brûlures et de nombreuses traces de coups avaient été observées par les médecins. Ces derniers avaient été alertés par le sexe nécrosé. Les parents sont incarcérés à Mons et Tournai et ils repasseront devant la chambre du conseil dans 28 jours. Pour l’instant, l’enfant serait toujours dans le coma et un signalement aurait été effectué déjà depuis le mois d’avril par le Service de l’Aide à la Jeunesse à la suite d’une dénonciation selon 7sur7.
Précision mercredi 24 juillet à 19h20 : Selon DH qui a relayé les propos d’un commissaire divisionnaire Christine Noterdeam « il n’a pas subi d’ablation et cela n’est pas prévu à l’heure actuelle. Il respire de manière autonome et sort tout doucement du coma, je ne sais pas d’où provient cette information ».