Thomas de l’Amour est dans le Pré répond aux accusations de cruauté
Un des candidats de l'Amour est dans le Pré est accusé d'actes de cruauté envers un animal. Il a donné sa version des faits.
Thomas Menant est éleveur de chevaux dans le Somme et un participant de l’Amour est dans le Pré. En début de semaine, on a appris que le jeune homme est accusé d’acte de cruauté envers un animal domestique. Une association a été alerté qu’un cheval avait été trouvé dans un champ, agonisant sous une bâche. Le propriétaire du cheval est le jeune candidat de l’émission.
Pour le participant à l’Amour est dans le Pré, qui a appris le décès de l’animal par les gendarmes, cette affaire est une histoire de jalousie entre voisins. “Un voisin jaloux a appelé la SPA, qui s’est empressée de venir car j’étais passé à la télé en janvier. Ensuite, les gens déduisent que laisser une bête en fin de vie dans une pâture, c’est de la maltraitance. Mais les agriculteurs savent bien que des morts dans les prés, il y en a forcément, malheureusement. Mais de là à transformer les faits en cela !”
Le candidat de l’Amour est dans le Pré devra s’expliquer le 6 septembre
Thomas Menant s’est exprimé dans les médias (Télé-Loisirs) pour donner sa version des faits. Il explique que le “poulain mâle de 8 mois” était “atteint d’une myopathie atypique”. Sachant que la maladie allait tuer le cheval, il a préféré administrer un calmant à l’animal pour “qu’il puisse partir dignement. (…) A titre personnel, je suis contre l’euthanasie : mon choix est laisser faire la nature.(…) Le cheval était en train de s’éteindre, il n’était pas dans d’atroces souffrances” déclare l’éleveur. Il assure avoir “traité le poulain de la meilleure manière qui soit.” Thomas poursuit : “Le 4 mars dernier, j’ai dû me rendre à Paris pour une formation agricole d’une demi-journée. En aucun cas, cela n’avait de rapport avec le tournage de L’Amour est dans le pré. Ceux qui le prétendent font preuve de malveillance envers moi et l’émission. En partant pour Paris, je l’ai laissé dehors, à la pâture. Ce sont des animaux d’extérieur, pas des cracks de course. J’ai pris soin de le recouvrir non pas d’une bâche mais d’une couverture de soin prévue pour les chevaux.”
Quoiqu’il en soit, Thomas Menant doit comparaître devant le Tribunal d’instance d’Amiens le 6 septembre.