Terminator Genisys : James Cameron pas indispensable selon Schwarzy
Actuellement à l'affiche de Terminator : Genisys, Arnold Schwarzenegger est revenu sur les propos élogieux émis par James Cameron à propos du nouveau volet de la saga.
Si l’on prend en considération les voix estimant que Terminator Renaissance n’a pas sa place dans la série initiée par James Cameron, Terminator : Genisys peut représenter le véritable quatrième épisode de la saga. Et en s’attachant aux propos émis par le réalisateur des deux premiers films, on peut alors se dire que Terminator : Genisys est en fait le troisième opus d’une trilogie qui aurait débordé.
Arnold Schwarzenegger, qui reprend ici du service après avoir échappé à l’échec de Renaissance, a déclaré il y a peu avoir vécu une “superbe expérience” en recevant un appel de James Cameron concernant sa réaction vis-à-vis de Genisys.
Schwarzenegger dans Terminator Genisys : “fantastique” selon Cameron
Dans des propos rapportés par ÉcranLarge.com, Schwarzy nous apprend donc que le réalisateur a vraisemblablement trouvé le résultat irréprochable. Du moins, à l’image de ce qu’il aurait lui-même pu concevoir : “Donc il l’a vu et m’a dit qu’il n’avait aucune idée de ce à quoi ça allait ressembler. Il m’a dit que j’étais fantastique dedans. Que s’il avait eu à le faire, il l’aurait réalisé exactement de la même manière, parce que ça renouvelait la franchise et partait dans une nouvelle direction.”
“On n’avait pas besoin de l’aide de James Cameron”
L’acteur est cependant apparu gêné que l’on ait pu se servir de l’enthousiasme de James Cameron sur Terminator : Genysis pour promouvoir le film, lequel n’en avait apparemment pas besoin : “Le réalisateur a fait un travail formidable, les acteurs sont excellents, l’histoire aussi, il y a un grand impact émotionnel. Je pense donc qu’on n’avait pas besoin de l’aide de James Cameron, même si c’était très gentil de sa part d’être aussi honnête sur le fait qu’il ait aimé le film.” On attend tout de même d’entendre Schwarzenegger et Cameron s’exprimer de nouveau sur cet opus dans quatre, cinq ans. Pour la curiosité.