Suède : il pète chez elle, elle porte plainte pour attentat à la pudeur
Rien à voir avec le 1er avril et pourtant... Une Suédoise a porté plainte contre un homme qu'elle avait éconduit et qui en a pété de vengeance, avant de disparaître.
Cette nouvelle d’une importance capitale pour le monde entier est tombée avec fracas la veille du 1er avril. Donc soyez-en certains, elle est rigoureusement authentique. L’affaire s’est passée en Suède, plus précisément à Laholm, dans le Sud du pays.
“Ça sentait très mauvais”, a déclaré la plaignante
L’homme en question était venu chez la femme, espérant un rapport charnel. Cette dernière ayant refusé l’étreinte l’a alors rejeté. L’indélicat personnage n’a alors rien trouvé de mieux que de péter en sa présence, et fort heureusement les détails s’arrêtent ici.
Piquée au vif, la “victime” est quant à elle partie déposer une plainte en bonne et due forme pour attentat à la pudeur. On relèvera de sa plainte le terrible, concis et accusateur : “Ça sentait très mauvais”.
Un an de prison pour un pet ?
Et dans ce pays scandinave, l’attentat à la pudeur est passible d’une année de prison. Cependant, et fort heureusement serait-on tenté de lâcher, la plainte a très peu de chance d’aboutir. Et comme tous les acteurs de cette farce policière sont savoureux, le dernier mot émane d’un porte-parole des forces de l’ordre locale, Kenneth Persson : “Il est impossible de prouver qu’il a lâché un pet intentionnellement”. Merci monsieur, merci du fond du coeur pour cette déclaration.
Cela signifie-t-il que cette plainte est recevable mais qu’il sera difficile de fournir les preuves du délit ? Nous ne manquerons pas de vous en tenir informés si nous le devions, mais il semblerait que la police ait déjà décidé de fermer le dossier relatif à ce vent de révolte.