Six agresseurs violent un homme à cause d’une dette d’argent
C’est à Paris que cet acte odieux a été réalisé. Un homme qui était venu récupérer une somme d’argent due, six personnes l’ont enlevé et violé à plusieurs reprises. Le médecin lui prescrira 5 jours d’ITT.
Ce drame vécu par un homme de 27 ans a été relayé par Le Parisien. Le 29 novembre dernier, un ouvrier du bâtiment est accompagné de son oncle. Les deux hommes se rendent dans le nord de la France pour récupérer la somme demandée à un employeur. Lorsqu’ils arrivent à Lille, ils comprennent rapidement qu’un piège leur a été tendu. Des inconnus sont lourdement armés avec des couteaux et des bâtons. Les coups de poings et de pieds fusent, mais le plus jeune, âgé de 22 ans réussit à s’enfuir. L’oncle est par contre enlevé par les 6 hommes et transporté dans la capitale. Dans un bar du 18e arrondissement, cet ouvrier va subir une vraie torture qui va durer pendant plusieurs heures. Il sera frappé à maintes reprises, humilié et surtout violé avec des objets.
Une agression d’une rare violence
Les agresseurs décident de le relâcher, mais ils demandent la somme de 70 000 euros en retour. Automatiquement, la victime décide de raconter son histoire à des fonctionnaires de police pour déposer une plainte. Il subira également un examen médical dont le rapport mettra en avant des violences sexuelles. L’ouvrier obtient ainsi 5 jours d’ITT. Les enquêteurs retrouvent les agresseurs et fouillent la voiture du leader. Ce dernier habite en Seine Saint-Denis et il avait un vrai arsenal dans son véhicule. Ainsi, les policiers ont retrouvé un nunchaku, des couteaux et des bâtons.
Les deux victimes ont reconnu les hommes à l’origine de cette agression, mais ils nient les faits qui leur sont reprochés. Selon un proche de l’affaire cité par le journal, les causes exactes de cette agression ne sont pas vraiment connues. Néanmoins, la cruauté observée est assez impressionnante. Les auteurs qui étaient de nationalité égyptienne ont donc été interpellés au début du mois de décembre, le 5 et le 18. Après avoir été mis en examen, ils ont été placés en détention provisoire.