Séparation des Beatles : Yoko Ono nie toute responsabilité
La veuve de John Lennon Yoko Ono a récemment déclaré n'avoir rien à voir dans la séparation des Beatles. Pour elle, Paul McCartney apparaît d'ailleurs comme un "gars plutôt sympa".
Dans les colonnes du magazine américain US Weekly, l’artiste japonaise Yoko Ono s’est récemment dévoilée au travers de 25 informations que les gens pourraient ignorer d’elle. Bien qu’apparaissant dans les ultimes lignes de l’article, celle qui apparaît comme la plus retentissante concerne la séparation des Beatles opérée en 1970.
La veuve de John Lennon y indique ainsi : “Je n’ai rien eu à voir dans la séparation des Beatles. Et je pense que Paul (McCartney] est un gars plutôt sympa”. Un peu plus haut, elle y faisait cette autre révélation : “Je ne sais pas si les gens vont me haïr après avoir dit ça, mais j’ai toujours préféré ‘The White Album’ à ‘Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band’. Ne vous méprenez pas, j’adore ‘Pepper’s’, mais…”
Yoko Ono : une préférence pour “The White Album” des Beatles
On apprend de même qu’avant que John Lennon ne lui donne une cigarette quand elle avait 34 ans, Yoko Ono n’avait jamais fumé. Et d’ajouter un peu plus loin : “John et moi avons perdu 15 années à nous nourrir de nourriture macrobiotique et à boire du lait de soja, alors que tout ce que je voulais, c’est un petit ‘half-and-half’ [NDLR : un mélange composé à 50% de lait et à 50% de crème].”
Jamais de lifting et une attirance pour Delon
Sur un plan encore plus personnel, la chanteuse admet avoir “toujours eu le béguin pour Alain Delon” et qu’elle n’a commencé à se maquiller qu’à l’âge de 50 ans, après s’être demandée, dix ans plus tôt, si elle devait se soumettre à une opération de chirurgie faciale. Elle déclare d’ailleurs qu’elle n’y aura finalement jamais recours. Et quand on lui affirme qu’elle a 83 ans, Yoko Ono s’en surprend quelque peu, étant donné que, selon ses dires, elle a toujours 43 ans dans la tête. L’article nous informe également de sa volonté de se réincarner en moineau, et de se conclure avec un fait possiblement connu : “Peut-être que les gens le savent déjà, mais John me manque chaque jour.”