Royaume-Uni : jugé pour avoir découpé et rangé les morceaux de cadavre de son père sous la télévision
Un jeune britannique est jugé actuellement pour avoir tué son père, avoir découpé son corps et caché les morceaux dans un meuble TV.
Un britannique de 28 ans est actuellement devant ses juges en Angleterre pour avoir, le 16 mai 2013, tué son père et avoir démembré son corps, comme le révèle aujourd’hui 20 Minutes. Le jeune homme a ensuite dissimulé les parties du corps dans des boîtes en plastique faisant office de meuble télé. La victime était âgée de 48 ans, mesurait 1,83 m pour 158 kilos.
Il cache les morceaux du cadavre de son père sous la télévision
Le jour du drame, le père, chauffeur de taxi, et son fils se disputent violemment dans leur appartement de Bournemouth, sur la côte sud de l’Angleterre. Selon le Telegraph qui a rapporté les faits, le jeune homme, après avoir tué son père, reste très calme, et se met à découper scrupuleusement le cadavre à l’aide d’un couteau de bricolage et de deux scies.
Le meurtrier place ensuite les morceaux du corps humain dans des boites qu’il empile et sur lesquelles il place sa télévision. Le fils avait cependant caché la tête de son père dans sa chambre à coucher, et aurait continuer à vivre comme s’il était encore en vie, continuant de payer le loyer et répondant aux SMS reçus.
Le jeune homme qui a tué et démembré son père à cru que son interpellation était “une blague”
La situation n’a été découverte qu’un mois plus tard, puisque le chauffeur de taxi ne s’était plus rendu sur son lieu de travail, et que cela avait déclenché l’inquiétude de ses collègues. La police avait été prévenue, et avait découvert au domicile le massacre. L’appartement était imprégné d’une odeur répugnante et des mouches étaient apparues en grand nombre. Le fils de la victime, quant à lui, était parti vivre chez sa mère, à Birmingham.
Le jeune homme n’a pas nié le meurtre de son père, mais a semblé surpris, comme le rapporte le site d’information, lorsque la police est venu le chercher au domicile de sa mère. Il aurait à cet moment précis cru à une plaisanterie. lors qu’il comparait devant la Cour de la Couronne actuellement, le suspect a assuré qu’il ne se trouvait pas dans son état normal au moment du drame.