Propos sur Mylène Farmer : Tal veut “rétablir la vérité”
Après avoir exprimé dans "Le Parisien" que le style de Mylène Farmer la laisse quelque de marbre, Tal affirme sur Twitter que ses propos ont été déformés.
Comme le signifiait la défunte émission de Marc-Olivier Fogiel, on ne peut pas plaire à tout le monde. C’est donc sans véritable surprise que l’on a appris, la semaine dernière et en dépit de son aura, que Mylène Farmer n’est pas une artiste immensément estimée par sa camarade de près de 30 ans Tal.
Dans les colonnes du Parisien, la jeune chanteuse a ainsi mentionné l’interprète de Sans contrefaçon dans une liste comprenant ce qu’elle n’apprécie pas : “Je sais que c’est un monument de la chanson française, mais tout chez elle me laisse froide. Je n’accroche ni à sa voix haut perchée, ni à sa musique, ni à son univers noir et étrange. Et puis on ne l’entend jamais s’exprimer, donc c’est compliqué de s’attacher à elle”.
Tal dit avoir “un grand respect” pour Mylène Farmer
Une parution qui a pu toutefois déplaire à Tal, et pas pour s’être possiblement attirée les foudres de certains fans de Mylène Farmer. Lundi matin sur son compte Twitter, la première a plutôt manifesté sa “grande surprise” qu’avoir lu qu’elle “taclait” la célèbre chanteuse à la chevelure de feu.
“J’ai un grand respect et une énorme admiration pour sa carrière et c’est une artiste qui n’a absolument rien à prouver. Il faut remettre les choses dans leur contexte, j’ai juste dit dans une interview que je n’écoutais pas sa musique car on m’a demandé quel artiste iconique je n’écoutais pas particulièrement.”
— TAL ☮︎ (@TalOfficial) October 31, 2016
“Mes propos ont été déformés”
Et si Tal en vient à apporter des explications sur cet entretien, c’est apparemment car ses paroles n’auraient pas été correctement retranscrites : “Mes propos ont été déformés. Je n’ai jamais dit : ‘Elle me laisse froide’ ou ‘elle a un univers noir et étrange’… Je respecte toute forme d’art ou d’expression créative et je tenais à rétablir la vérité! #sanscontrefaçon :)” À noter qu’à l’heure où sont rédigées ces lignes, l’article du Parisien comporte toujours le passage incriminé.