Ophélie Meunier fait “la part des choses” face aux critiques
Invitée du "Grand direct des médias" d'Europe1 en ce vendredi, l'un des nouveaux visages de M6 Ophélie Meunier est notamment revenue sur ses débuts contrastés à la présentation du "Tube" de Canal+.
Comme d’autres animateurs de la chaîne cet été, Ophélie Meunier a quitté Canal+ pour de nouveaux horizons, en l’occurrence M6. On a déjà pu la voir à l’œuvre ces dernières semaines à la présentation du 19:45, et dimanche, elle fera ses premiers pas à la tête de Zone Interdite en succédant ainsi à Wendy Bouchard.
Reçue vendredi dans les studios d’Europe1 dans le cadre de l’émission de Thomas Joubert Le grand direct des médias, l’animatrice y est apparue impatiente d’assister à ses débuts aux manettes de cette émission emblématique de M6 : “On a tourné donc évidemment la première émission. […] On a hâte de la voir, on a hâte tous d’être dimanche soir, et moi la première, et d’avoir évidemment les retours de tout le monde […] pour la première fois, ou en tout cas depuis un petit moment, on va faire une saison entière avec des plateaux à l’extérieur […] On a des séquences, des plateaux où je fais des rencontres”.
“Zone Interdite” : Ophélie Meunier espère y rester plus d’un an
S’amusant d’avoir débuté une nouvelle aventure chaque année depuis 2013, Ophélie Meunier aspire cependant à la stabilité avec M6, et notamment cette double-casquette de présentatrice-rédactrice en chef adjointe sur Zone Interdite. L’animatrice souhaitait ainsi être particulièrement “impliquée” dans le contenu de l’émission.
Première du “Tube” : “J’étais super stressée”
Ophélie Meunier a également été appelée à revenir sur sa dernière page tournée dans le livre Canal, qui ne lui a pas laissée que de bons souvenirs : “Je pense que la première du Tube, […] j’étais super stressée. C’était la première émission que je présentais de ma vie. […] J’étais extrêmement stressée, j’étais, voilà, j’étais pas bien dans mes baskets. […] Quand je me suis vue, je me suis vraiment décomposée”.
Un démarrage hésitant qui n’a donc pas motivé que des commentaires élogieux à son encontre. L’animatrice reconnaît ne pas y être insensible : “Ça touche sur le coup, on ne peut pas dire le contraire. Je pense que quand les gens twettent, ou en tout cas font des commentaires, s’ils pensent qu’on ne les voit pas, c’est pas vrai, on les voit, on les lit. Ça nous touche, donc je les vois, je fais la part des choses. Il y en a [NDLR : des critiques] qui sont très dures et peut-être parfois plus gratuites que d’autres”.