Nicolas Sarkozy évoque les deux fois où il s’est battu physiquement
Nicolas Sarkozy avoue s’être battu physiquement à deux reprises dans sa vie. Dans les deux cas, il n’est pas vraiment ressorti vainqueur !
Nicolas Sarkozy est connu dans le monde politique pour être quelqu’un d’impulsif. Une difficulté à contrôler ses nerfs parfaitement illustrés par la polémique du « Casses-toi pov » con ! » qui vient d’ailleurs de ressurgir aujourd’hui à propos d’Emmanuel Macron.
Si l’ancien président de la République sait combattre moralement pour ses idées, il sait aussi en venir aux mains lorsque cela est nécessaire. Dans les colonnes du journal Le Point, il revient sur les deux fois où il s’est senti obligé de se battre physiquement dans sa vie.
Nicolas Sarkozy en vient aux mains
S’il affirme ne pas aimer se battre, même s’il est un homme de combat, Nicolas Sarkozy confirme avoir eu à se battre physiquement dans sa vie. Sa première « baston » remonte à 1976, à l’Université de Nanterre avec des opposants politiques. « Il y avait un grand rassemblement de grévistes. J’avais une magnifique chemise bleue et un jean. J’étais monté à la tribune pour dire que leur grève, c’était un truc de prétentieux. À l’époque, je travaillais, j’étais fleuriste, et ces blocages, ça ne me plaisait pas. Tout cela s’est mal terminé je suis sorti, je n’avais plus de chemise » se rappelle avec nostalgie le président du groupe Les Républicains.
Secoué par la bagarre, le Nicolas Sarkozy avoue qu’il n’a pas pu remettre les pieds à l’Université pendant six mois pendant lesquels il a dû prendre des cours du soir.
« J’ai volé dans les chaises du public »
La seconde bagarre de Nicolas Sarkozy s’est déroulée dans un cadre bien plus conventionnel pour un pugilat, puisque c’était dans un dojo. « J’avais décidé de m’inscrire au club de judo de Nanterre. Je n’y suis allé qu’une fois »…
Celui qui vient de trouver son QG de campagne pour 2017 alors qu’il ne s’est pas encore déclaré officiellement comme candidat avoue, après avoir accepté un combat contre un « petit jeune » du club, « Au bout de deux minutes, j’ai volé dans les chaises du public, j’ai dit “’merci beaucoup”’, je suis parti et je ne suis jamais revenu ».