Meeting de Valls : Hugo Clément de “Quotidien” une nouvelle fois agressé
Mercredi soir lors du meeting de Manuel Valls, le journaliste de "Quotidien" Hugo Clément a une nouvelle fois été victime d'une agression alors qu'il décrivait la journée de l'ancien Premier ministre.
Se seraient-ils donnés le mot ? Après avoir, il y a de cela quelques semaines, été frappé par un soutien de François Fillon alors qu’il était à l’antenne, le journaliste Hugo Clément de Quotidien a une nouvelle fois été victime d’une agression mercredi soir, durant le meeting de Manuel Valls.
Hugo Clément était en train de décrire à Yann Barthès, en plateau, la difficile journée de l’ancien Premier ministre. Lequel a ainsi du annuler une visite du marché de Noël de Montbéliard suite au retard de son train, et Manuel Valls d’avoir reçu une casserole après la visite d’une entreprise en fabriquant.
“Quotidien” : Hugo Clément insulté à l’antenne
C’est alors qu’un homme s’est approché du journaliste et l’a violemment bousculé, avant de balancer son micro par terre. Il a ensuite prononcé quelques mots avant de demander à ce que la caméra de Quotidien soit éteinte. L’homme a une première fois été écarté par le service d’ordre, avant de revenir à la charge s’en prendre physiquement à Hugo Clément et l’insulter.
Pour sa seconde intervention à l’image, on aura entendu l’individu se plaindre que le journaliste “continue sa m..de” pendant l’hymne national. Hugo Clément a déclaré s’être pourtant livré à un exercice commun à d’autres confrères présents sur place. On peut alors supposer que l’homme avait déjà une dent envers Quotidien, qu’il n’a pas apprécié le compte-rendu du journaliste ou qu’il souhaitait tout simplement apprécier la parole de Manuel Valls en paix. Il a finalement été conduit vers la sortie.
L’homme évacué par le service d’ordre
Le 23 novembre dernier, Hugo Clément avait été une première fois agressé lors d’un meeting de François Fillon. Un militant qui n’appréciait visiblement pas que le discours du candidat à la primaire de la droite et du centre soit perturbé par les questions du journaliste aura ainsi asséné des coups de drapeau à ce dernier.