Les Français vont dépenser plus pour les fêtes de Noël en 2015
Pour Noël 2015, les Français ont, semble-t-il, décidé d’augmenter leur enveloppe consacrée à leurs achats par rapport à l’an dernier.
« Promis, cette année, je fais mes cadeaux de Noël en novembre ! » On a tous déjà prononcé cette phrase et si certains arrivent à se tenir à cette bonne résolution, nombreux seront ceux qui arpenteront les magasins le 23 décembre en quête du dernier cadeau de la liste !
Après plusieurs années de restriction de leur budget pour les achats de Noël, les Français ont décidé cette année de dépenser un peu plus.
577 euros dépensés en moyenne pour Nöel en 2015
Selon une étude Deloitte réalisée auprès de 1727 Français, les dépenses consacrées à Noël vont augmenter cette année. Pas de folie cependant puisque que ces derniers ont prévu un budget de 577 euros en moyenne pour les cadeaux, le repas de Noël, et les sorties de fêtes. L’an dernier, la prévision à la même époque était de 518 euros et le budget moyen dépensé avait finalement été de 575,9 euros.
Globalement, il ressort que les Français ont décidé de délier les cordons de la bourse cette année puisque selon TNS Sofres pour Ebay, 20 euros de plus seront consacrés aux cadeaux par les Français cette année.
Une dépense plus réfléchie et des Français plus optimistes
Si le budget augmente, les consommateurs de l’hexagone ne sont pas pour autant prêts à faire n’importe quoi. 82 % des Français interrogés précisent en effet que les promotions influeront directement sur les achats produits qu’ils effectueront lors de la période des fêtes. 40 % d’entre eux qui prévoient de réaliser plus de la moitié de leurs dépenses de fêtes en achetant des produits en promotion.
Quoi qu’il en soit, cette tendance à la hausse dans les prévisions des dépenses de Noël démontre le regain d’optimisme des Français vis-à-vis de la santé économique du pays. L’année dernière, 7 Français sur dix estimaient que la France était en récession, contre 5 sur 10 aujourd’hui. De plus, 44 % des personnes interrogées craignent une dégradation de la situation économique du pays sur l’année à venir contre 60 % à la même époque l’an dernier.