Le Bon Coin : Des chiens dérobés retrouvés sur le site par la propriétaire
Le Bon Coin peut être un repaire à voleurs et une propriétaire a pu retrouver ses chiens en surfant sur la plateforme.
Ce n’est pas la première fois qu’un tel acte se produit sur le Bon Coin. Il y a quelques semaines, une internaute avait acheté une voiture dont l’annonce était très alléchante. Après une rapide visite chez le garagiste la propriétaire a constaté que le bon plan s’était transformé en une arnaque. La voiture avait été volée puis maquillée avant d’être vendue sur le site marchand qui rencontre de plus en plus de succès. Aujourd’hui, le Parisien rapporte l’histoire de Pascale Trompas qui commence il y a deux ans au mois de novembre. À cette époque, elle vend des Staffordshire bull-terriers et des bull-terriers.
Une vraie chasse à l’homme
Deux hommes intéressés achètent un petit chien en échange de 800 euros, la somme est payée par chèque. La propriétaire qui utilise aussi le Bon Coin, car « ça marque plutôt bien » a une mauvaise surprise le lendemain de la vente puisque neuf petits chiens de la race bull-terriers ont mystérieusement disparus comme le rapporte le journal. Elle se tourne vers la banque, car elle possède les 4 chèques de l’acheteur, mais une seconde mauvaise surprise apparaît, le banquier lui révèle que le compte a été fermé depuis plusieurs mois. La gendarmerie ne souhaite pas s’attarder sur ce fait selon le journal, la propriétaire décide donc de se lancer dans une véritable chasse à l’homme aux côtés de plusieurs amies et de sa sœur.
Des chiots sont morts ou vendus
Elles décident de consulter Le Bon Coin et une annonce attire immédiatement leur regard, car les chiens vendus ont le même aspect physique. Une amie de Pascale décide de contacter l’auteur de l’annonce pour acheter un chiot. Elle se rend donc sur le lieu du rendez-vous et prend une photo de la ferme et des vendeurs. Après avoir déposé plainte, les malfaiteurs ont été arrêtés et condamnés à payer 6000 euros. Certains chiots n’ont pas pu être récupérés, car ils étaient morts ou déjà vendus. L’internaute n’a jamais vu la couleur d’un billet des malfaiteurs puisqu’ils ne pouvaient pas payer la somme.