La prière réduit de 50% l’Alzheimer
La prière se révèle être un geste thérapeutique selon une étude menée par les États-Unis et Israël. Cela pourrait réduire le risque notamment chez les femmes, de souffrir de cette maladie.
La prière et l’Alzheimer seraient liés selon une étude réalisée en 2 003 avec 892 Arabes israéliens de plus de 65 ans. Parmi cet échantillon, « 60% des femmes priaient cinq fois par jour, comme le veut la coutume musulmane, tandis que 40% ne priaient que de façon irrégulière ». Selon le PR Rivka Inzelberg « nous avons constaté, dix ans après le début de l’étude, que les femmes pratiquantes du premier groupe avaient 50% de chances de moins de développer des problèmes de mémoire ou la maladie d’Alzheimer que les femmes du deuxième groupe ».
La prière permet aux personnes de solliciter leur mémoire « qui pourrait constituer un facteur de protection ralentissant le développement de la maladie d’Alzheimer ». Ces résultats ne sont pas les premiers qui prônent les bienfaits de la prière. En 2005, les activités spirituelles avaient prouvé leur efficacité notamment en ralentissant le processus de dépendance engendré par l’Alzheimer selon Lefigaro.
Le Pr Michael Ovadia avait également proposé une étude sur cette maladie avec une substance extraite de la cannelle. Cette dernière aurait tendance à limiter le développement de la maladie. Elle touche près d’une vingtaine de millions de personnes dans le monde selon les chiffres proposés par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). En France, 850 000 individus souffrent de l’Alzheimer.