États-Unis : il saccage une supérette après n’avoir pas pu acheter de M&M’s
Alors que sa carte bancaire venait d'être refusée dans l'achat d'un sachet de friandises, le client d'une supérette californienne s'est emporté et a saccagé la boutique avant de repartir sans l'objet de son désir.
Les faits se sont produits en février dernier dans un magasin 7/11 de Californie (États-Unis). Ce n’est toutefois que mercredi que la police de Santa Ana a diffusé la vidéo d’une caméra de surveillance afin que le public puisse aider les enquêteurs à retrouver l’auteur d’actes de violence.
Il y a donc quelques semaines de cela, un homme s’est présenté au comptoir de la supérette avec l’intention de régler l’achat d’un sachet de M&M’s. Sauf que sa carte bancaire va être refuée par le lecteur. Au moment où l’employé du magasin annule la transaction, le client s’attaque physiquement à lui avant de projeter la caisse enregistreuse et le lecteur qui se trouvaient devant lui.
Saccage d’une supérette : une vidéo pour retrouver l’auteur
L’homme a ensuite fait de même avec des bananes et une autre caisse enregistreuse. Et d’être reparti sans son sachet de friandises même si son ardoise s’est tout de même remplie. Quand bien même aucune personne n’a été blessée pendant le moment où le client s’est emporté, les autorités estiment ainsi qu’il a causé pour 700 dollars de dommages matériels.
Citée par FOX 11, la police a souligné que le magasin ne peut être tenu pour responsable du refus de la carte : “Ce n’est pas l’employé qui lui a refusé l’accès à ses fonds, mais sa banque.”
700 dollars de dégâts matériels
Les enquêteurs, qui sont toujours sur la trace de ce client, s’inquiètent de sa réaction s’il venait à connaître le même type de contrariété pour des achats plus conséquents : “S’il est prêt à faire ça pour un peu plus de 75 centimes, qu’est-ce qu’il se passera quand il sera confronté à de véritables problèmes ?”
Pour l’heure, l’homme ne semble pas avoir récidivé, et la diffusion de cette vidéo devrait permettre à la police d’éviter d’éventuelles nouvelles crises de sa part ainsi que d’autres possibles dégradations de commerces.