Depardieu : Philippe Torreton s’en prend violemment à Gérard
Depardieu se retrouve au centre d’une vive polémique après son déménagement en Belgique. L’acteur aux 170 films qui a décidé de quitter la France déchaîne la colère d’autres Français comme Philippe Torreton. Ce dernier lui dédie un monologue agressif et violent.
Gérard Depardieu était sûrement loin de penser que ce déménagement déchaîne autant la presse et la France. Après le Premier ministre, les journalistes, les émissions de télévision, c’est au tour de Philippe Torreton connu notamment pour son rôle de Napoléon. L’acteur a décidé d’attribuer un article sur Libération à Depardieu. Intitulé « Alors Gérard, t’as les boules ? », Philippe Torreton ne cautionne pas son comportement « Tu vends tes biens et tu pars avec ton magot dans un pays voisin aux cieux plus cléments pour les riches comme ? ». Il continue sa tribune en indiquant que Gérard Depardieu pense toujours « qu’à sa gueule ». Il ne comprend pas pourquoi il a choisi de s’exiler alors que la France a besoin de toutes ses forces pour passer outre cette crise financière.
« On va se démerder sans toi »
Le comédien déclare « Mais Gérard, tu pensais qu’on allait approuver ? Tu pensais que des pétitions de soutien de Français au RSA allaient fleurir un peu partout sur la Toile ? » Pour Philippe Torreton, Depardieu pense toujours au fric, il a vendu ses biens et a décidé de quitter la France en destination d’un pays bien plus intéressant pour les fortunés. Il utilise également les rôles de Gérard Depardieu pour l’interpeller notamment en indiquant qu’on « n’abdique pas l’honneur d’être une cible » en citant le célèbre Cyrano de Bergerac.
Gérard Depardieu est donc au centre de multiples critiques et Philippe Torreton souhaite finir sa tirade en indiquant que le pays va dans tous les cas se débrouiller sans lui « pour faire de ce pays un territoire où l’on peut encore, malgré la crise, faire des films et monter des spectacles grâce à des subventions obtenues en prélevant l’impôt ». Gérard Depardieu avait tenu à déclarer au Premier ministre qu’il rendait son passeport, cela avait d’ailleurs amplifié la polémique.