Barack Obama croyait déjà au succès de l’iPhone 1
Alors qu'il n'avait pas encore été lancé, Barack Obama a eu le luxe de connaitre avant tout le monde le tout premier iPhone d'Apple.
« Si c’était légal, j’achèterais une cargaison d’actions d’Apple, ce truc va devenir vraiment énorme ». Cette phrase, elle nous vient de Barack Obama en 2007 après que Steve Jobs lui ait présenté le tout premier iPhone quelques mois avant sa sortie. Cette indiscrétion, nous la devons à son ancien conseiller David Axelrod qui dans son livre « Believer » a publié quelques petites phrases du Président des Etats-Unis.
Ce dernier n’était pas encore élu pourtant à l’époque où Steve Jobs lui a montré ce prototype, mais s’est tout de même montré visionnaire. A l’époque, l’action Apple valait près de 12 dollars. Huit ans plus tard et un « Four more years » de Barack Obama, l’action de la pomme valait 119 dollars avec une capitalisation boursière de 700 milliards de dollars. Celui qui était à l’époque candidat pour les présidentielles auraient pu tenter de convaincre Steve Ballmer, ancien PDG de Microsoft qui déclarait lui que l’iPhone n’était pas le « téléphone du futur, et que ça ne marcherait jamais ».
Barack Obama toujours fidèle à Blackberry
Malgré son admiration pour l’iPhone, Barack Obama n’a cependant pas (officiellement) le loisir d’en posséder un. Et pour cause, depuis près de huit ans, Blackberry est le seul smartphone qui a reçu la certification des services de sécurité de la Maison Blanche. Toute personne d’ailleurs voulant communiquer avec la Maison Blanche est tenu d’utiliser un Blackberry, Une fidélité qui tranche avec la façon dont Blackberry est boudé depuis quelques années par les consommateurs, prouvant que du côté de Washington on préfère consommer canadien plutôt que de croquer à pleine dents dans la pomme.
Le coup de pouce de Barack Obama à Apple
Malgré sa fidélité envers Blackberry, l’histoire d’amour entre Obama et Apple ne s’arrête pas à de brèves présentations et quelques phrases. Alors que Samsung et Apple s’affrontaient dans un mémorable bras de fer en 2013, le président américain avait mis son veto à une décision de la commission américaine du commerce international interdisant la commercialisation aux Etats-Unis de certains modèles d’iPhone et iPad par Apple.
A l’époque, la Maison Blanche a justifié son veto par la nécessité de préserver la concurrence et de protéger les consommateurs américains contre un éventuel abus de position dominante venant de Samsung.